Elle est Canadienne, Québécoise de Montréal, il est Français, francilien et parisien (ou presque).
Elle aime conjuguer érotisme et mots, elle aime expérimenter, elle aime jouer.
Il la rejoint sur chacun de ces points, à sa manière.
Elle est universtaire et féministe. Il est ingénieur informaticien et joue à la belote coinchée.
Elle lui a proposé ce jeu et il s’est empressé d’accepter.
Il s’agit d’une partie de ping-pong ; vous, lecteurs de Victoria Welby et de Comme une image, verrez les coups échangés, mais sans connaître les règles. Elles seront mouvantes, vous pourrez les percevoir, les deviner, jouoer avec nous peut-être.
Ceci est le premier échange, ma réponse à son coup d’envoi, et ma présentation. À son tour de jouer de la raquette, de faire sa propre présentation du jeu qui s’écartera peut-être de la mienne (tout cela en fait partie, d’ailleurs, du jeu). La suite, c’est chez elle.
Si on vous dérange, faut le dire!
@ kana > Eh ben dis donc, quel four !
C’est juste qu’outre un très beau texte, (voire sublime et excitant) chez Victoria, il n’y a rien en rapport avec ce jeu, du moins de chez moi
@ Six > Exact. J’aurais dû écrire « la suite SERA chez elle ». Il faut lui laisser le temps de répondre. C’est sûr que c’est du ping-pong à un rythme qui n’est pas celui des champions japonais. (Il y a plein de choses sublimes et excitantes chez Victoria…)