[775] I ❤ football

Dans ces conditions, moi je suis tout à fait prêt à partager mon amour du football avec la demoiselle (à noter qu’il suffit de l’allonger pour la transformer en drapeau français – par contre, qu’elle garde la bouche ouverte exactement comme ça.)


Crédit photo : « Soccer fans celebrate Paraguay making it to the next round of the World Cup, after watching a match against New Zealand on a big-screen television, in Asuncion, Paraguay on Thursday, June 24, 2010. Paraguay was held to a 0-0 draw by New Zealand in the match, but still won its World Cup group and moved into the round of 16. (AP Photo/Jorge Saenz) # »

[774] Y a pas d’gag

She eyed me up from across the bar and mouthed “I have no gag reflex”.

— Texts Fom Last Night

Lu sur Quickies in New-York, un site sympathique et anglophone (mais qu’on peut souvent lire avec les yeux) conseillé par un sympathique lecteur.

C’est fâcheux, cette absence de réflexe, car comme dit l’adage français « femme qui rit à moitié dans ton lit » (mais c’est peut-être différent à New-York).


Le titre de cette note est emprunté à un strip de Marcel Gotlib sur les aventures de Momo le morbaque. Je n’ai pas réussi à le retrouver sur le net alors je vous en ai trouvé un autre à titre d’illustration. Finalement, c’est on peut considérer que c’est raccord.

[772] J’irai po (4)

Ici, si l’histoire se répète en boucle, c’est vraiment avec un petit h.

Ça, c’était en 2005 et le synopsis disait :

Mr et Mrs Smith forment un couple tout ce qu’il y a de plus banal. Pourtant, Mr Smith est exécuteur pour une organisation secrète et Mrs Smith tueuse à gage vendant ses services aux plus offrants. Ignorant chacun les activités de leur cher et tendre, ils vont pourtant se retrouver en compétition sur un même « contrat ». Comme quoi une scène de ménage au fusil mitrailleur c’est quand même plus fun qu’avec la vaisselle de Maman…

J’y suis po allé.

* * *

Ça, c’est en 2010, et le synopsis nous raconte :

Alors que Jen Kornfeldt, en vacances sur la Côte d’Azur, se remet à peine d’une rupture, elle fait la connaissance de l’homme de ses rêves, le beau Spencer Aimes. Trois ans après cette rencontre, Spencer et Jen sont de jeunes mariés heureux à la vie paisible. Mais tout bascule le jour où un mystérieux tueur cherche à éliminer Spencer. Jen découvre alors que son mari est agent secret, un détail qu’il n’avait jamais pris la peine de mentionner. Les attaques contre le couple se multiplient, et ils comprennent que la tête de Spencer est mise à prix… Devenue femme d’un espion, Jen va tenter de découvrir quels autres secrets son mari a bien pu lui cacher. Mais elle devra surtout apprendre à esquiver les balles, gérer sa belle-famille et préserver les apparences d’un couple parfait…

Ben j’irai po non plus.

[769] Enfin apprendre à faire l’amour avec M6 – épisode III

C’est fascinant, la télévision.

Imaginez, en quelques dizaines de minutes d’émission, une heure peut-être, j’en apprends plus sur le sexe qu’en vingt vaines années de laborieux travaux pratiques. Sans doute me suis-je de nombreuses fois fourvoyé sur des chemins sans issue, pensez, comme aller faire des petits dessins avec des matrices semi-graphiques apprises par cœur à grand coup de lecture des STUM 1B, ou m’amuser à battre mon record d’apnée dans le jacuzzi du Moon City (exploit interrompu par quelques libertins inquiets prêts à trouver n’importe quel prétexte pour me faire du bouche à bouche).

Pour ce 3e épisode de ma saga télésexuelle, je vous accorderai que le titre de ce billet est assez usurpé parce qu’il ne s’agit pas vraiment d’apprendre à faire (mieux) l’amour, mais juste de trouver un bon prétexte pour tripoter nos congénères, de préférence nos congénères avec nichons (M6 restant relativement prudent dans les écarts qu’elle s’est autorisé, pour cette émission, par rapport à la doxa hétérosexuelle majoritaire, je ne sais pas si l’information qui suit s’applique aussi aux transsexuel(le)s hormoné(e)s).

Selon une étude (dont je ne me souviens pas qu’elle ait été citée) en effet, se faire caresser les seins réduirait les risques de cancer du sein. J’ignore si cette étude est étayée, si elle est aussi sérieuse que celle qui conclut à l’inexistence du point G. Je me demande bien quel en aura pu être le mode opératoire.

Toujours est-il que le conseil me paraît pertinent et qu’il convient, par sécurité, de tâter aussi souvent que vous le pouvez les seins qui passent à portée de vos mains. Nul doute que même celles qui vous injurieront dans la rue pour votre goujaterie vous remercieront, quelques années plus tard, quand au sortir de leur mammographie bisannuelle, le médecin leur annoncera que leur seins sont on ne peut plus sains.

À propos de mammographie, j’ai appris, en lorgnant sur le rapport reçu par ma femme, que celle ci était dotée de seins de densité classe 2. Je ne sais pas ce que ça donne, la première ou la troisième classe (Mesdames, à l’occasion, n’hésitez pas à me signaler votre catégorie à vous, afin que je devienne un jour aussi docte qu’un reporter de M6), mais la classe 2, c’est tout simplement la classe.

Pas trop gros, pas synthétiques (me semble-t-il), de la tenue, ça m'a tout l'air d'être de la classe 2 tout ça !

Image chopée chez Geeky Porny Girl qui m’a touitée alors que je lie en retour en action de grâce.

[768] Enfin apprendre à faire l’amour avec M6 – épisode II

Je poursuis mon petit débrief post-télévisuel, fort de mes apprentissages tout neufs sur le sexe. (Merci M6 !)

Pour (bien) jouir, Mesdames, sachez donc qu’il faut savoir s’a-ban-don-ner !
Je ne sais pas si ça veut dire la même chose que « aller dans un lieu de perdition » ou bien penser à autre chose, sortir de ce corps, ou je ne sais pas quoi encore. Ça, M6 ne l’a pas expliqué. Z’ont juste dit « s’abandonner ». Et y z’ont pas dit non plus si ça marche aussi pour les garçons.

J’attends donc de mon lectorat des explications claires, si jamais il y en a, parmi ceux qui me lisent, des qui savent faire l’amour (ce dont je doute, évidemment).

Sur cette illustration (très soft et permettant de se construire une histoire), nous constatons que l'héroïne s'est abandonnée. Rassurez-vous, elle a pu se retrouver ensuite grâce aux petits pop-corns blancs préalablement semés.

P.S. : je signale à mes lecteurs, au risque de les surprendre ou, pire, de les décevoir, en leur signalant qu’une des raisons pour lesquelles je suis plus souvent qu’à l’habitude devant cet écran qu’on dit petit ou qu’on appelle aussi parfois lucarne parce ce qu’en cette période de Mundial, eh oui, je regarde le foot ! (Enfin, un petit match de temps en temps, il ne faut pas abuser des bonnes choses. J’ai un bon alibi pour le premier match des bleus. Durant France-Uruguay, j’étais au Stade de France pour assister à un plutôt chouette concert de Muse.)

[767] Enfin apprendre à faire l’amour avec M6 – épisode I

Je regardais hier soir une émission sur M6 avec plein de gens acceptant de témoigner à visage découvert sur leurs pratiques sexuelles de couple, avec plein de conseils d’un sexologue rigolo (ses séances pédagogiques sur la sexualité tiennent un peu du one-man-show) et tout et tout.

Et j’ai appris quelque chose de stupéfiant :

Les préliminaires, c’est important (surtout pour le plaisir féminin mais pas que).

Et j’ajoute ce complément pédagogique :

Les préliminaires, ça commence dès le matin par un petit mot gentil, une caresse, un cadeau, etc.

Fort de mon nouveau savoir, j’envoyais illico un petit préliminaire par SMS à mon rendez-vous de ce soir : « Tu m’as fait prendre de très mauvaises habitudes, alors ce soir, ce n’est pas parce qu’on va au Moon City que tu dois porter une culotte. »

Je vous rappelle, les filles, que les préliminaires, c’est aussi pour les garçons.

Tant qu'à donner des conseils, en voici un qui me semble particulièrement pertinent ! (je continue dans les illustrations soft)