Quand l’objet du désir est loin et qu’on en est réduit à se toucher par des mots pianotés sur le clavier d’un téléphone portable…
Je t’imagine à quatre pattes, une main glissée entre tes jambes écarte les lèvres de ton con.
J’approche mon gland de ton sexe ainsi offert et je m’enfonce d’un coup puis je te baise, je te chevauche, je tambourine à tes fesses jusqu’à ce que tu hurles mon nom.

Enfin je dis « téléphone » ;)
Gicerilla » L’idée, c’est qu’une seule phrase suffise à faire germer chez elle d’autres phrases et des images. Un truc de feignant, en fait, on laisse l’autre faire tout le boulot.
Alice » Une collectionneuse ! (Oui, moi aussi, je m’en mets quelques uns de côté, pour parfois cryogéniser ces papillons éphémères.)
Je hurlerai de peur, oui :D