Cher Jérôme,
Malgré ce que tu essayes de faire croire à tout le monde, je ne t’ai jamais considéré comme quelqu’un de très sage.
Dès la première fois que tu es venu à l’une de mes soirées, tu écrivais déjà avec assurance – et non sans un certain talent – de joyeuses et assumées cochonneries.
Continue à nous faire rire, réfléchir, bander et aimer, malgré ces années qui passent mais qui nous bonifient aussi.
Et comme du bon vin… donne-nous tout ton jus !
Et pour retrouver Flore, c’est ici.