[528] Le conte est bon

Desplechin est grand, et Amalric est son prophète !

Un conte de Nöel

Desplechin continue de tricoter avec un talent incroyable des histoires peuplées de personnages extraordinaires filmés dans leur plus grande ordinarité. C’est vivant, c’est tragique, c’est drôle. Après Rois et Reine, encore un grand moment de cinéma, rare, intense.

[525] La curiosité des cabinets

Sur une idée de Lib – échappée belle, ce petit jeu de devinette que je vous invite à répandre sur la toile si le cœur vous en dit.

Il s’agit donc de deviner dans quel endroit (parisien, ouvert au public) se trouvent ces ravissantes toilettes :

toilettes

Le poisson rouge à l’intérieur est vivant, si, si !

Le ou la gagnant(e) se verra offrir deux rhums dans un rade aux toilettes exotiques ou non.

Ceux qui savent où je traînais hier sont évidemment disqualifiés et je m’en excuse auprès d’eux.

[522] Téléphone arabe

Sur une idée de Vendetta, ce petit jeu tout simple. Oui, il s’agit d’une chaîne de burpeur, mais non pyramidale. Il s’agit de reprendre le texte ci-dessous sur votre burp et de le déformer légèrement, comme si vous l’aviez mal entendu. Vous n’êtes pas sans savoir que la législation française impose le principe de l’opt-in et non de l’opt-out, la chaîne fonctionne donc sur le principe du volontariat. Le premier qui veut reprendre le flambeau doit s’inscrire dans les commentaires et les autres qui voudront jouer devront donc glisser vers le burp suivant pour reprendre le flambeau. Quand la flamme se sera tarie, j’irai la récupérer et dans un dernier souffle, je bouclerai ici-même la boucle.
On s’efforcera de faire un rétrolien vers le billet précédent de manière à faciliter la lecture hypertextuelle.
On n’oubliera pas de reprendre les règles du jeu en en-tête, sans trop les déformer, elles.
On aura compris que le jeu n’est donc réservé qu’aux burpeurs ayant, de surcroît, les commentaires ouverts. Ça laisse un espace de jeu assez vaste. (suite…)

[521] Not alone in the dark

On n’a jusqu’alors entendu que des pas feutrés sur la moquette, le tintement d’une ceinture qu’on déboucle, le froissement d’un pantalon que l’on ôte. Ce silence, orchestré, crée, plus qu’un mystère, une tension.
Il va la chercher. Elle l’attendait dans la salle de bain, pendant que lui s’installait dans la chambre de l’hôtel. (suite…)