[461] Maîtres Queues

En cette période de fêtes, quelques menus élaborés par nos plus prestigieux chefs.
 
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Les Pluralités Florissantes de Gaspard Thousard

Partie Fines de Claire & Belâtres

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Carré d’Agnelles, Purée de Poids Casés

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Open Bar Grillé Encapuchonné et ses Grosses Légumes

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Balades Composées, à volonté

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Faradandole des Pervers

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Mille Feuilles Pralines & Ananas

Notre avis : un menu copieux et savoureux pour une ambiance festive. Attention aux abus…

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Souvenir de Port-Neaux, par Francis Ixelle

Mise en Bouche des Mousquetaires « Tous pour Une »

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Trou Normand

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Enfilée de Moules et Noix de Cinq Jacques

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Trou Picard

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Raie au Beur Blanc & son Riz Crémeux

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Trou Breton

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Sauté de Dinde façon Lord Sandwich

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Trou Gascon

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Omelette Norvégienne et sa Giclée Tiède

Notre avis : les plats manquent un peu d’imagination, et l’abondance peut mener à l’éœurement. Ce menu trouve toujours ses amateurs, toutefois.

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Toi & moi selon Arty Zanal

Duo de Langues, sauce piquante

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Consommé de Minou, suivi de Doigts de Fée selon la recette du Pr Graffenberg

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Sauté de Levrette

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Cuissot de Gazelle, sauce Grand Veneur, Trompettes de la Petite Mort

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Sucette au Réglisse « Saint-Lazare »

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Effeuillée de Rose

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Bûche aux Berlingots, pour les gourmandes

Notre avis : un excellent menu pour un tête à tête qui ravira vos papilles comme vos pupilles.

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Saveurs du Monde réunies par Lespas de Schengen

À la Croisée des Deux Globes (recette espagnole)

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Nom d’une Pipe (recette française)

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Je T’Aime (recette italienne)

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Le Dernier Tango (recette grecque, une pointe de beurre en plus de l’huile d’olive)

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Extase Tantrique (recette indienne)

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Shibari-bari (recette japonaise)

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Diplomate

Notre avis : un menu idéal pour une découverte des plaisirs de la bouche (et d’ailleurs) venus d’ici et d’ailleurs. Recommandé, si vous ne craignez pas que cette variété ressemble au feuilletage d’un catalogue d’agence de voyages.

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Nous vous souhaitons pour 2008 une année pleine d’appétit et de saveurs…

[460] L’année commence bien

Amis lecteurs, je vous envoie tout plein de bons vœux pour 2008.

Je ne sais pas pour vous, mais moi, je la sens bien, cette année 2008. D’abord, elle est bissextille. Ça fait un jour de bonheur en plus. Et puis « bissextile », rien que l’épithète est évocateur. Ensuite, y aura un Global Orgasm Day (il semblerait que celui de 2007 n’ait pas suffit à éradiquer la guerre dans le monde : persévérons).

Et puis je n’aurais pas de sale coup sur la tronche genre changer de décennie. Ah, ça va une fois. Maintenant j’ai 10 ans devant moi avant le prochain coup de massue.

Pour bien commencer l’année, je vous propose (rien de moins) de passer TOUT LE MOIS DE JANVIER en ma compagnie.

Ça se passe chez La Sorcière.

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[459] Toulouse : trop d’la balle

Je passe mes vacances de fin d’année (bien méritées) à Toulouse.
Une bien jolie ville dans laquelle je traîne quelques fantômes, mais dans l’ensemble : de très beau souvenir.
Tandis que je déambulais dans les rues noires de monde, il m’est apparu que Toulouse était définitivement the place to be. Toulouse : to win, en quelque sorte.
 
Ce n’est pas mon genre d’affirmer les choses gratuitement. Évidemment, le lecteur toulousain ne peut que constater au quotidien que ce je raconte est fondé, mais pour le lecteur parisien, marseillais ou californien (je n’ai pas, comme Mlle Dusk, la chance d’avoir un lecteur qatari), il s’agit d’être concret.
 
Selon l’adage qui veut qu’un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, voici juste deux clichés qui vous permettront de juger du  bien fondé de mon affirmation.
 
 
INCROYABLE ! LE PÈRE NOËL EN VILÉGIATURE À TOULOUSE
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Après une harassante distribution de cadeaux, c’est en effet la fantastique ville de Toulouse que le Père Noël a choisi comme destination pour prendre l’air.
C’est sûr, ça change de Renne (ah ah), pas vrai Père Noël ?
 
 
 
INCROYABLE ! JEAN MICHEL JARRE EN CONCERT À TOULOUSE 
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C’est devant une foule compacte que Jean Michel Jarre (j’ai appris dernièrement que celui-ci avait souhaité retiré le trait d’union de son prénom, c’est immensément plus classe comme ça, t’as raison mon Jean-Mimi) a choisi de donner, en live, sur la splendide place du Capitole (peut-on imaginer endroit plus prestigieux pour accueillir les nappes mélodiques de JMJ ?). Voilà qui apporterait un bol d’Oxygène (ah ah) à Toulouse, si celle-ci en avait seulement besoin. On murmure que le Père Noël aurait assisté (incognito) au concert. Voilà qui nous change des ragots bas de gamme entre Nicolas et Carla.

 

 
 
Sinon, vous noterez que mes publications seront ici un peu espacées, faute de connexion Internet à portée de PC. Et puis c’est les vacances : reposez-vous un peu ! 
 

Illustrations : copyleft 2007 Comme Une Image 

[458] Y aura-t-il de la baise à Noël ?

Le plus difficile aura été de trouver un prétexte pour échapper à la surveillance de ma femme pour ces quelques heures que j’allais passer en ta compagnie. Oui, c’était ça le plus dur, parce que l’envie, ça, l’envie, elle n’avait pas eu de mal à se faire sentir. Elle s’en fout pas mal des 800 km de distance, de nos situations respectives, avec toutes les contraintes qui les accompagnent, elle naît, et une fois qu’elle est là, c’est trop tard pour l’Interruption Volontaire de Désir. Se dire « je ne t’aurais pas eu(e), toi, mais j’en aurais bien d’autres », même si on y croit à cette phrase, elle n’empêche pas de se dire que chacun est unique et qu’on aurait perdu la connaissance de cette spécificité, ce truc qu’on aurait vécu avec l’autre et avec personne d’autre. Nous avions chacun nos promesses de plaisir tendues à l’autre, tu m’avais dit « je suis particulièrement (…) [ici je laisse le lecteur faire parler son imagination, NDLA] » et moi, que t’avais-je dit qui t’avait touchée, tentée, mon cul (oui, je sais qu’il te plaisait, mon cul) ou autre(s) chose(s). Il fallait donc que l’on s’ait, et nous nous sommes eus, dans cette chambre d’hôtel, pour ces quelques heures arrachées à nos chemins, pour ce petit détour dont on ne sait pas aujourd’hui s’il sera unique ou renouvelé.

À de nombreuses reprises ici j’ai tenté de disséquer la façon dont nait le désir, comment deux êtres finissent par nourrir le dessein conjoint de baiser ensemble (même parfois sans vrai désir). Oh ! je ne prétends certes pas avoir une vision exhaustive sur le sujet, d’autant que mes histoires ont tendance à trouver leur source au travers de ce canal unique qu’est Internet. Mais cette seule source ne rend pas pour autant les rencontres identiques. De la confidente à qui l’on raconte tout, des semaines, des mois durant, sans n’échanger que des bises polies jusqu’à ce, soudain, nos langues décident de ferrailler, à la lectrice discrète qui d’un coup assènera un « viens et prends-moi ! », du rendez-vous sage dans un bar, pour faire connaissance, au rendez-vous aveugle  dans une chambre d’hôtel, testostérone à bloc, de celle qui vous dit « non » quand tout vous pousse à croire qu’il y a une grande complicité à vivre, que vous mettrez des mois à courtiser et des mois à vous remettre du départ à celle que l’on croise  un jour et à qui l’au revoir qu’on échange n’est qu’un adieu, il y a de quoi faire de chaque histoire ce qu’elle est : quelque chose d’à la fois unique et si banal. Boy meets Girl. Te voilà, presque, face à moi, victime consentante pour entrer dans mon tableau de chasse. Me voici, presque, face à toi, prêt à devenir une de tes conquêtes (qui a attrapé qui ?). Presque. J’ai frappé à la porte et j’attends que tu m’autorises à entrer.

Jeune femme dénudée posant en avenante Mère Noël

Bien que l’on ait pu échanger plusieurs photos avant cette rencontre, que nos visages, et plus loin encore, nos corps dénudés, n’aient presque plus de secret l’un pour l’autre, tu as choisi de me recevoir aveuglée. Le temps que tu mettes en place sur tes yeux l’écharpe que tu as choisie comme bandeau et j’entends le déclic de la clenche de la porte que tu entrouvres avant d’aller lentement te poser, agenouillée, sur le lit. J’ouvre plus largement la porte pour pénétrer la chambre 215 avec vue sur rien, et si tu ne vois pas le sourire qui se dessine sur mon visage, je pense que tu l’entends. Pour le bandeau, tu m’avais dit, mais pour ta tenue, c’était motus ; je la découvre donc. Tu portes une guêpière noire et crème, une petite culotte assortie, de vrais bas accrochés aux jarretelles. Touché ! en plein dans le mille de mon érotisme mainstream, parce que ce que j’aime dans les classiques, c’est que pour moi, ils ne le sont pas, habitué que je suis au pyjama en flanelle. Il ne manquait que des escarpins à bride pour que mon sourire se transforme en moue, bouche bée, filet de bave s’en échappant. Mais tes pieds ne sont gainés que de nylon noir. Je ne crois pas avoir vraiment matière à râler. Je m’approche de toi, ton bonjour hésitant répondant au mien, lubrique. Mes mains se posent sur tes hanches, mes lèvres sur les tiennes. Nous échangeons ainsi notre premier baiser. Tes mains, qui s’étaient naturellement posées sur mes épaules, se meuvent. Tu t’apprêtes à déboutonner ma chemise mais je ne te laisse pas faire et je m’échappe. Je passe derrière toi, embrasse tes épaules, mes mains encore sur tes hanches, plus caressantes. Je vois le haut de tes bras se hérisser, ce n’est pourtant pas l’air glacial qui souffle dehors qui en est la cause dans cette chambre où règne une douce tiédeur. Dans mon pantalon aussi, quelque chose se dresse et c’est au poil ; je choisis de te faire part de mon émotion en collant mon bassin contre le bas de tes reins. Tu te cambres un peu pour mieux évaluer la situation, et comme en mécanique quantique, l’observation modifie les résultats, je bande deux fois plus et j’ai déjà envie de te pénétrer mais je dois prendre mon temps, je dois…

Je m’écarte un peu et caresse ton corps de dos : je remonte depuis tes poignets jusqu’à tes épaules où ma caresse se mue en début de massage. Je redescends par tes flancs, pelote tes fesses et laisse glisser mes doigts sur la piste de nylon jusqu’à tes chevilles. Je me remets face à toi et te laisse la main : je m’en remets à tes mains, en somme. Les voilà qui, guidées un cerveau aveugle, prennent connaissance du terrain. Se posent sur mon torse, le parcourent, comme pour jauger l’animal. Se font plus hardies, descendent ; en voilà déjà une qui se pose sur la bosse formée par mon sexe raide. Je te chuchote quelque chose à l’oreille. Je glisse une main dans la corbeille de ta guêpière pour y cueillir un sein ; il est ferme et j’ai envie de le mordre à pleines dents. Tes deux mains pendant ce temps essayent de crocheter ma ceinture, un modèle spécial qu’il n’est pas évident d’ouvrir sans le voir, mais par hasard ou habileté, tu réussis à faire sauter le verrou. Le bouton qui suit, ainsi que la braguette, sont dès lors un jeu d’enfant. Ta main s’engouffre, mes lèvres rejoignent les tiennes au moment où tes doigts se referment sur ma queue encore protégée par le mince coton qui la couvre. Ma main se glisse entre tes jambes et remonte l’intérieur d’une cuisse : nylon, chair, dentelle… dentelle… dentelle humide… dentelle, chair frémissante, nylon… Je poursuis mes aller-et-retours mais difficile de ne pas faire comme si tu n’avais pas baissé mon boxer et empoigné mon sexe que tu branles doucement.

Tu as bien fait les choses : tes jarretelles passent sous ta culotte, si bien que je peux la faire glisser sans avoir à les défaire. Tu m’aides, en te tortillant, à te l’enlever complètement. Je profite de ce mouvement pour te plaquer sur le dos et ma bouche vient se coller à ton sexe odorant ; je lape ton jus, je l’aspire, je communie avec ta chatte et tes gémissements s’ajoutent à ma psalmodie. Venez à moi les petits han-han. Tu avais remonté tes pieds, écarté tes cuisses, mais maintenant tu les enroules autour de ma nuque et tu me presses contre toi ; mon nez collé contre ta vulve, je te lèche en apnée. D’un coup tu te cabres, foudroyée par un orgasme que tu n’avais pas imaginé si rapide. Tu as envie de ma queue, maintenant et tu me le dis exactement comme ça. « J’ai envie de ta queue ! Maintenant ! » Je ne suis pas un goujat, je n’ai aucune envie de ne pas satisfaire ton désir. Pendant que je déroule autour de ma queue impatiente un préservatif, tes mains déboutonnent ma chemise, baissent un peu plus mon pantalon. Tu es toujours sur le dos quand je pose mon gland à l’entrée de ton sexe, j’entre à peine mais d’un coup de rein doublé d’un mouvement de tes jambes, tu transformes mon approche de gentleman en coup de bélier. Du bout des pieds tu repousses mon pantalon maintenant sur mes mollets, je me tortille pour m’en débarrasser complètement tout en te pistonnant. Je soulève une de tes cuisses gainée par ton bas, mon autre main caresse ta poitrine. Il est presque furieux, le geste avec lequel tu arraches ton bandeau, pour, éblouie par le soudain afflux de lumière, fixer l’homme qui te baise. Tes baisers se font mordants, sur mon visage perlent quelques gouttes de sueur ; c’est que je ne manque pas de cœur à l’ouvrage.

Oui, il y aura de la baise à Noël, et ça vaudra bien une séance de gym.

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Illustrations : Titre inconnu par Краюшкин Сергей / Dark Christmas Wishes par Jenni Tapanila

[457] ex nihilo nihil ?

Deux petites informations labellées « on vit une époque moderne™ » :

Valeurs mobilières 

Trouvée sur Techcrunch, cette news datant du mois dernier (oui, oui, j’ai un peu de retard) : « La police Hollandaise a arrêté une bande d’adolescents en train de voler du mobilier virtuel, chaises et divans, sur Habbo Hotel, un monde virtuel en 3D très populaire aux Pays-bas. Un jeune homme de 17 ans ainsi que cinq adolescents sont interrogés, selon la BBC News. »

Il y en avait pour 4000 € de meubles virtuels, lequels ont été piqués d’une chambre pour être amenés (tout aussi virtuellement) dans une autre chambre de cet hôtel virtuel.

Je me demande bien sous quel chef d’inculpation on a bien pu les poursuivre. 

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Moins cher que pas cher

Un site d’e-commerce américain vient d’ouvrir avec un concept assez novateur mais qui ne devrait pas faire florès. Il met en vente des produits …. gratuits ! Le principe est assez malin : ce site propose à des sociétés (genre chaînes de supermarchés) qui ont du stock qu’ils n’arrivent pas à écouler de les leur récupérer. Les sociétés en question font des économies (parce que le stock, ça coûte), et le site en question ne fait que facturer les frais d’envoi avec une infime marge (oui, c’est là l’astuce, ça n’est donc pas exactement gratuit).

M’enfin, c’est assez sidérant. Inconvénient principal : les machins proposés, même gratuits, j’en veux pas.

L’info était ici sur l’Atelier.fr ; le site c’est FreeOverstock.

[EDIT] L’info date de fin septembre, lue en novembre. Au moment où je rédige cette note, le site n’a pas l’air de répondre… Panne ou game over ? [/EDIT]

[RE-EDIT] Ah non, ouf ! C’est juste que le site a changé de nom (et d’adresse). Il s’appelle désormais CostZero [/RE-EDIT] 

[456] Tu quoque, Rachel

Rachel, actrice XXX, comme un ange Vous ne vous en souvenez pas, mais moi je m’en souviens fort. Quand une femme m’émeut, ce n’est jamais pour un jour. Après, avec le temps qui passe, le sentiment qu’elle m’inspire peut changer de nature, s’accompagner de souvenirs, de plaisirs, de déception. Mais dans un petit coin, cette émotion originelle reste tapie, intacte, prête à vous pincer le cœur.
Sur l’ancien burp de John B. Root, peu avant sa fermeture, j’étais donc tombé sur une photo d’une jeune hardeuse débutante, surnom Rachel (je suppose qu’il s’agit d’un surnom comme généralement dans ce milieu, pour autant que je le connaisse). Cette photo m’avait ému, donc, peut être pour la ressemblance troublante de cette jeune femme avec la Juliette Binoche aux joues rondes de ses débuts, certainement pour la ressemblance troublante de cette jeune femme avec mon idéal féminin (que mon ami Pedro ne comprendra jamais). De ce trouble était né un billet.
Entre temps, John B. Root a rouvert un nouveau burp, un peu plus commercial encore que le précédent, mais avec quelques cadeaux offerts à ses lecteurs pornophiles, quelques coups de gueule, quelques infos qui en font un endroit unique. Et, entre autres infos, j’y ai appris d’abord que la Rachel était embarquée dans le tournage de son prochain film (Ludivine), ensuite que la Rachel ouvrait son propre burp que je me suis empressé de visiter. Bon, l’intitulé de son site L’univers de Rachel xxx est un peu trompeur, ou alors cet univers est vraiment limité ; ce site est plus pour elle l’occasion de faire la promotion de son boulot (pour les royalties ?) que de nous confier ses états d’âme, de nous ouvrir vraiment la porte de son univers (comme je le fais un peu pour vous, ami lecteur, même si je fais un peu de promo aussi, et que je ne vous dis pas tout non plus). (suite…)