Il y a quelques années, quand une fille me parlait de son envie de fessée, je prenais ça pour une étrange déviation.
— Ah ! tiens ?
Aujourd’hui, quand une fille me parle de son envie de fessée, je prends ça pour une urgente invitation.
— Ah ? viens !
Est ce qu’on va tous muriiiiiiiiiiiiiiir ?
marietro » Vraiment surprise ?
Ellie C. » Pâtir, c’est mûrir un peu ?
Vagant » Comme dit Lisbeth, ça, c’était avant. Probablement que j’ai eu la chance (?) de croiser sur ma route des amatrices qui s’en sont ouvertes à moi ; je l’ai d’abord fait pour leur faire plaisir, et puis mon plaisir à moi est venu.
Ce qui est particulièrement renversant, c’est de balancer une bonne fessée et de se rendre compte, en mettant un doigt dans la chatte de l’impétrante, de combien elle est trempée. #Vécu (et pas qu’une fois) !
ah la fessée..
ça veut dire que tu n’invites pas toi même (en premier je veux dire) à ce qu’on se rende à travers tes genoux (par exemple) ?
il me semble que les fesses étant une zone érogène + la proximité des entrées ça appelle du plaisir :) mais c’est théorique puisque mon propre ressenti n’est pas de cet ordre.
(Oui, une belle photo, ça fait très longtemps qu’elle attendait dans mon classeur à images.)
sofi (la plus sage de mes commentatrices) » C’est drôle, votre point de vue semble extérieur à la scène.
Miss Flo » Et là, il faudrait que vous nous disiez comment c’est, pour vous, une fessée « bien donnée » !
Je réponds aussi a l’invitation.
PS: Un petit mot cher CUI, et même si je ne tapotte plus de mots chez toi, j’ai tjrs autant de plaisir a te lire. Mes amitiés virtuelles.
– il faut que la fessée me procure plus de plaisir que de douleur. C’est assez subjectif et cela dépend de l’orientation du jeu.
– il y faut une vraie osmose avec le fesseur.
Miss Flo » Les deux points indiqués sont deux points très subjectifs effectivement et qui pourraient presque coller à n’importe quel sujet sexuel : pour que ça soit bon, il faut une bonne complicité avec son partenaire…
http://gracygimp.blogspot.com/.....-paul.html
Marietro » Vous faites des émules !
: oui, c’est un post bien écrit et intéressant. (je serais bien curieuse de connaître le chemin qui vous a mené chez Amandine… tout comme CUI chez la délicieuse Elie qui aime les glaces)
Brigit » C’est sans doute dû au fait que je croise plus de femmes que d’hommes dans ma vie sexuelle ! Et pour Vagant, je ne sais pas, mais pour moi, ça ne date pas d’hier, le fait que je traîne sur des blogs non-vanille (Bricabrac, feu Dame, etc.)
Ellie, je crois que je l’ai pécho via Miss Peel ;-)
La cravache et le martinet ont un inconvénient majeur, par rapport à la fessée à la main, c’est – justement – de ne pas forcément être à portée de main ! Bref. Autant une fessée peut s’improviser, autant utiliser des instruments dédiés spécifiquement à cet usage érotique (encore qu’on peut toujours improviser un ustensile de cuisine comme paddle de secours) nécessite au moins une préparation. Je crois que j’ai donné mes premiers coups de cravache il y a presque 10 ans, à la première amante qui m’avait d’ailleurs réclamé une fessée. À mes yeux alors, ça me semblait pas loin d’être une pratique extrême. Aujourd’hui, sans avoir l’expérience de maîtres en la matière, je me forge une certaine pratique, grâce à une amante particulièrement friande. C’est fou combien, en matière de plaisirs sexuels, le plaisir de l’un est communicatif à l’autre.