Il s’en fallut de peu pour que ce bref message, déposé sur Twitter un soir d’ivresse où j’étais sous l’emprise de quelque substance, ne fit couler beaucoup de sang d’encre. Du coup, je viens ici apporter quelques explications.
Rien de grave à n’arrive à ma prostate, au contraire !
Par ces mots, je ne voulais pas signifier que ma prostate était devenue un truc en état de délabrement, qu’un cancer la guettait, mais, tout simplement, qu’il ne fallait pas jouer avec comme un 78 tours, d’y aller un peu plus mollo sur le tempo.
Car, une fois qu’on trouve le bon rythme, le bon mouvement de la pulpe du ou des doigts sur l’organe, je me mets à chanter une étrange mélopée de plaisir.
Qui, pour le coup, peut certes ressembler à un vieux 78 tours.