Cela fait une bonne heure, deux peut-être, que nous tournons en rond dans la banlieue résidentielle de *** sans trouver de retraite. Nous avions déjà fait une halte dans une impasse qu’on pensait tranquille mais à peine arrêtés, c’était le défilé des passants. L’envie nous prenait à la gorge et les caresses que l’on s’offrait (sa main sur mon sexe raide, la mienne perdue entre ses cuisses, sous sa jupe) ne suffisaient plus à nous contenter. Nous passons devant un hôtel, prêts à nous y arrêter mais ça ne correspondait pas au « programme ».
N’y tenant plus, elle fait un crochet dans un petit parking, à peine en retrait d’une rue pavillonnaire apparemment déserte. Elle coupe le moteur de son monospace et en un clin d’œil se retrouve assise sur moi, à califourchon. Ses mains déboutonnent fébrilement mon jean, mes mains glissent là où elles peuvent se glisser, ce qui veut dire à peu près partout entre ses épaules et ses genoux. Mais le moment n’est plus aux douceurs et aux politesses, il est aux sexes qui s’emboîtent, aux coups de reins, aux bassins en nage. Je me tords pour attraper dans mon manteau l’unique préservatif que j’ai avec moi (j’ai bêtement laissé mes affaires dans le coffre de ma 106 à qui je fais cette infidélité et elle n’a pas encore dans son sac la panoplie de la parfaite femme adultère)… « Tu vaux de l’or, rubber-boy, ne nous fais pas un mauvais coup ! ». À peine l’ai-je déroulé sur mon sexe qu’elle vient s’enficher sur moi. C’est presque un ouf ! de soulagement que l’on pousse alors. On reste une seconde immobile (jouir de l’enfin) avant de reprendre le mouvement. Je crois qu’à cet instant, je lui souris, un sourire de bonheur crispé par la concentration. Ce n’est pas simple de faire l’amour. Il faut savoir être à l’écoute de l’autre, de son corps, agir pour que nos gestes transmettent du plaisir. Et dans le même temps, il faut aussi écouter son propre corps, ne pas se mettre en retrait, prendre, s’accaparer aussi du plaisir, accepter que ce que l’on prend pour soi n’est pas volé à l’autre.
…
Un enfant passe dans la rue à quelques mètres de nous. Il porte un cartable sur le dos, sans doute la sortie des classes. Je ne pense pas qu’il nous ait vus, en tout cas son regard est déjà loin devant. Il n’empêche, je ne suis pas très à l’aise.
Elle a la solution : nous allons nous glisser… dans le coffre arrière. Nous nous y faufilons en rigolant comme des gamins par la chatière qu’ouvre le siège médian abaissé. Je le relève derrière nous, car même là où nous étions, nous restions visibles.
Bien que recouverts par le toit mobile du coffre, obligés de nous tasser (il ne mesure pas plus de 60 cm de haut), nous avons une certaine impression d’espace (pour le coup, oui, ma 106 n’était pas à la hauteur). Nous pouvons en tout cas nous dénuder plus sereinement. Tandis que nos corps s’embrassent, j’envoie mes chaussures rouler dans un coin, j’enlève son pull, elle retire sa jupe, je dégrafe son soutien-gorge, elle déboutonne ma chemise. Je dois me libérer de mon jean. Dans la hâte, dans l’effusion, je ne libère qu’une jambe ; pas le temps d’ôter la deuxième, il faut vite que je la reprenne.
…
Dans notre cocon, suffisamment de lumière pénètre pour que l’on puisse se voir. Je profite particulièrement du spectacle pour lequel j’avais donné quelques instructions de mise en scène. Mon amante ne porte plus que sa paire de bas et sa paire de bottes (rien que de l’écrire, j’en suis encore tout ému, visiblement ému !). Ma partenaire me tourne désormais le dos. Jambes pliées, cul légèrement relevé, tête contre le plancher, c’est dans cette position que je la prends en levrette, moi-même ayant le torse incliné pour que nos deux corps ainsi emboîtés tiennent sous la courte hauteur de plafond. Il est possible que quelques passants aient pu être intrigués par les oscillations « spontanées » de ce véhicule à l’arrêt, mais nous n’en saurons rien. J’allais et venais en elle quand c’est arrivé : d’un mouvement du bassin, elle expulse mon sexe du sien et me tend sa croupe. Aucun mot prononcé mais le message est clair et je ne me fais pas prier. Ma queue entre sans effort dans son cul accueillant. La température dans l’habitacle passe de chaude à incandescente. Je poursuis mes va-et-vient et quelque chose me dit qu’il faut enclencher la vitesse supérieure. Mes mains alors empoignent fermement ses hanches et ainsi agrippé, j’accélère la cadence et l’amplitude du coït. Je sens mon sexe gonfler, encore et encore. Je souffle, je râle, je mugis, avec moi elle crie doucement et dans un ultime coup de boutoir, je jouis – fort – au cœur de ses entrailles. Il me faut un temps pour reprendre mes esprits. Ce n’est que maintenant que je m’aperçois que mon visage est rouge de transpiration. La sueur dégouline sur tout mon corps, mon torse, mes cuisses. Son dos creuse un sillon où elle s’écoule aussi. Je me retire (« thanks rubber-boy, you were perfect ! ») et je la serre dans mes bras. Que c’était beau. Que c’était bon. Une semaine après, je suis encore hanté par cette vision : le coffre, ses bottes, son cul, ma jouissance…

Nous ouvrons grand les fenêtres pour que se dissipe la buée sur les vitres du véhicule transformé en caisson de sudation. Nous reprenons, heureux, encore hébétés par la force de l’orgasme, la route vers un supermarché pour acheter les cartouches nécessaires aux prolongations de nos ébats.
J’aperçois un panneau. Nous étions rue de Toronto.
:)
Et alors, tu me conseilles plutôt la C8 ou la 807 pour baiser ???
l’Amazone > Je suppose que tu voulais dire « maculer ».
Pour baiser, je te conseille plutôt de donner une suite à mon courriel ;-)
(Ami lecteur, je précise au passage que je ne propose pas les services de mon entrejambe, juste mon entregent).
http://tinyurl.com/yp3lal
Je n’en fais pas vraiment, en fait…
PG qui se souvient d’une histoire similaire dans un dodge Magnum
http://dodge.jbcarpages.com/Ma.....201280.jpg
Sinon, sur le comment, tu es bien curieux.
Sur internet voyons ! Je ne sais pas draguer les filles sur les parvis, moi.
(Et en fait, t’es mieux que la dictée magique toi, hop, on écrit un petit commentaire avec des fautes et 2 minutes après, elles n’y sont plus. Dommage que ce module ne soit pas disponible pour d’autres applications…)
PG : Eh oui, il est fort CUI sur Internet! Si Cécile de Volange connaissait l’existence de ce burp, elle serait peut-être dans ces bras en ce moment!!!!
Et puis les mères de famille désoeuvrées se laissent facilement séduire par un burpeur obsédé sexuel!! A moins que ce ne soit le contraire? Va savoir!
Cattleya : ***elle*** pourrait te prêter sa familliale. En plus, tu n’aurais pas de mal avec le créneau, elle se manie très bien aussi! Direction assistée, vitres électriques (pas teintées – gros, gros défaut de cette voiture!), accoudoirs amovibles, manettes sur les sièges arrière permettant un accès au coffre (120x140x60) très facile.
: Tu crois que je n’ai fait que crier « doucement »? ça m’étonne!
Une semaine encore après, je suis hantée par cette vision : le coffre, nos fringues écrasées, froissées, la simultanéïté de notre jouissance.
On aurait pu faire un joli titre de note, genre « Sous la plage, les pavés ». Enfin non, pavés, ça le fait pas.
Ouais, c’est magique ici. Essaye encore !
cattleya > J’ai fait des merveilles dans ma 106, tu sais, elle a tout d’une grande (sauf le coffre, je dois bien le reconnaître). C’est une 106 Kid, en plus. 106 Dick ?
***elle*** > (vous ici ?!)
Faut pas parler de jouissance simultanée ici, ça va énerver Lib ;-)
PS : CdV n’a pas d’accès internet chez elle (voilà au moins un détail que je connais de sa vie privée !) Flûte !
Accepteriez-vous de m’éclairer svp sur une question qui me questionne depuis quelque temps ?
Pour quelle raison, une mère de famille avec une grosse voiture choisit de prendre pour amant un type comme CUI, lui qui :
– collectionne les aventures comme vos enfants le font avec les figurines Pokémon ?
– va narrer par le menu vos étreintes automobiles comme d’autres décrivent l’intérieur du moteur d’une 106 ?
– corrige vos fautes d’orthographe avec la précision d’un dictionnaire électronique ?
– s’enduit de Nutella et porte des caleçons à fleur ?
– suffoque dès que la température s’élève un peu ?
– a porté au pouvoir Nicolas Sarkozy (ayant soutenu Ségolène Royal) ?
La question est un tantinet provocante mais je suis scinèrement intéressé par la réponse. Naturellement, les 879 autres conquêtes masculines et féminines, passées, présentes et à venir, de CUI sont invités à s’exprimer sur le sujet.
D’abord on va se tutoyer, si ça ne te gêne pas, hein?
C’est effectivement une très bonne question.
Cela risque d’être long, de ne pas intéresser trop de monde, mais je vais te répondre puisque c’est si gentiment demandé.
Pour quelleS raisonS une mère de famille entretient-elle une relation avec un homme comme CUI?
1/ Avec un natural born baiseur, tu es à peu près sûre de coucher avec un homme d’expérience, qui va te faire vivre le grand frisson… waouwaouwou
2/ Avec un burpeur, tu vois ta vie sexuelle déballée sur la place publique. Et quand tu es exhibitionniste, tu aimes ça…
3/ Tu espères bien qu’avec toutes les connexions qu’il a, tu vas pouvoir te taper une ou deux de ses connaissances/ amis… Il a dit l’autre jour à vagant qu’il aimait bien partager, (son côté socialiste!)
4/ Parce que tu peux dire à toutes tes copines desperate housewives que la garce, c’est toi… (On avait essayé de tirer à la courte paille pour savoir qui serait qui, mais on s’était trop crêpé le chignon!)
5/ Parce que la mère de famille a toujours un pot de nutella à la maison (Par contre, pour le caleçon à fleurs, là, je bloque, tu as raison….)
6/ Parce que tu adores qu’on te donne des leçons d’orthographe (baguette à l’appui si nécessaire, quand tu ne comprends pas assez vite) et que tu peux faire ta crâneuse devant tes gosses qui viennent d’apprendre à l’école les accords avec le verbe avoir…
Non???
Tout cela ne te semble pas plausible???
Alors peut être parce que finalement, malgré tout c’est un homme touchant, qui fait part de ses forces, de ses faiblesses. Que tu aimes la façon qu’il a d’écrire, simplement. Qu’il y a derrière le burp, une autre vie, de partage et de tendresse. Qu’il aime chacune de ses amantes comme personne. Qu’il est à l’écoute de son corps et du tien. Qu’il te comprend. Que finalement, être la seule ou une parmi tant d’autres, cela n’a pas d’importance tant qu’il t’apporte ce dont tu as besoin. Que c’est un incorrigible romantique. Que tu n’es, certes, pas rassurée de savoir qu’il va décortiquer les moments que tu as vécu avec lui, les offrir aux autres, mais que tu te sens en confiance.
Pas convaincante non plus???
Peut-être que la vérité est entre les deux!!!!!
Moi, ch’ais plus
blabla > La question étant posée ici, tu veux que je te rafraîchisse la mémoire ?!
@***elle*** : mouais…
CUI : 106 pas KID, 106 Symbio, rien que ça. Pis comme je suis claustro, je n’ai même pas eu l’idée de tester le coffre! ;-)
Bon, pis comme ça fait un moment que je n’ai pas fait de remarques désobligeante: « Ah, beuh… des Sarkozistes! Effroi! »
Que sous-entends ton « mouais »???
Euh, sinon, faudrait quand même pas que mon coffre se transforme en hôtel de passe non plus!!! Je connais de très bonnes adresses à Paris pour cela.
CUI : Ah oui, la frustration domestique. Je n’y avais pas pensé.
Cattleya: Bon, allez ok, je te donne le rôle. Mais faudra être à la hauteur!
et l’avantage du beurp, c’est qu’on fini par bien la connaitre la bête ! ;-) ça peut donner envie de faire connaissance…
je dois reconnaitre que niveau voiture, j’ai eu de la chance, car quand on était jeunes (enfin, y’a 7ans quoi!), on avait une audi break… sièges arrières baissés, le coffre faisait plus 1,60m de long !!! ça reste parmi mes meilleurs souvenirs, parce que c’était très fort !
Je me marre aussi sur ton clin d’oeil dans les comms. Tu me connais comme si tu m’avais faite. (tu corriges toutes les fautes mais tu laisses l’auxiliaire avoir, hein).
Blabla, je te dépannerais bien, au nom de l’amitié, mais justement en son nom, c’est pas possible.
Y a un jeu pour deviner qui est **elle** ?… Parce que je crois avoir une petite idée. Enfin, je la garde pour moi.
Alors pour « pote », sache que pour ma part, je fantasme gravement sur le sexe en voiture et c’est une raison suffisante en soi. Cela étant, j’ai déjà testé la totalité de la gamme Renault et Peugeot, des trucs bizarres en wolswagen… Tiens qui a une Audi?
***elle*** : pour être franc je t’avais fait une longue réponse à caractère polémique dans la lignée de mon premier questionnaire reprenant avec scepticisme et ironie (ex : CUI est à l’écoute de son corps : pour sûr) chacun de points que tu as mis en avant. Et puis ensuite je me suis dit que peut-être mes propos pourraient indisposer mon pote CUI alors je me suis abstenu. En résumé, pour simplifier et sans polémiquer, je crois que le plaisir à prendre lors de l’acte de chair ne me semble pas être une raison suffisante pour passer à l’acte avec un homme ou une femme qui semblent enclins à procurer le dit plaisir. Autrement dit, CUI a mis en place (et il ne s’en cache pas) un magnifique piège à gonzesse et je suis très surpris qu’il fonctionne. Autrement dit, je ne suis pas libertin pour un sou, et ne l’étant pas, je ne comprends pas les comportements libertins.
Mon mouais était surtout une façon de montrer que je t’ai lu et je te remercie pour le temps que tu as pris pour me répondre, manifestement de façon sincère et détaillée. J’ai pris moi le temps de te lire avec attention.
Pour finir par une phrase plus conforme à la tonalité habituelle de mes propos :
Je suis désolé très chère ***elle*** mais je suis totalement inacessible alors pour ce qui est de votre frustration, je laisse mon ami CUI réparer le trouble occasionné par mes réponses frustres…
Parce que, en vrai, il suffit juste de prêter un peu d’attention pour arriver même à voir ses hésitations, ses accès de timidité.
Parce que t’as envie de le baffer tellement il veut toujours plus, plus loin, plus fort, et qu’il ne se satisfait jamais de ce qu’il a.
Parce qu’il a une très jolie queue.
Parce qu’il est raide dingue amoureux de sa femme, et parce qu’il joue au libertin. Et qu’il assume, dans la plupart des cas.
Parce que c’est (vraiment) quelqu’un de bien.
Fallait pas demander.
(Ehoh, CUI, t’as vu c’te pub que je te fais ? Tu me dois un dîner, là, non ? ;-) )
Ah oui, quand même, je précise, parce que quand même : je ne suis pas amoureuse de CUI, pas une seule seconde !…
Presque Toujours : Non, non, ***elle*** a un vrai prénom. Mais oui, oui, il est question de fesses!
The_pote : merci pour ta lecture attentionnée! Je pense que ton ami se fera très vite un plaisir de veiller à enlever tout sentiment de frustration que je pourrai garder au fond de moi!
(Sinon, mes réponses étaient aussi un peu partielles, pour ne pas non plus indisposer ton ami! Mais si tu veux, un jour, nous en discuterons! Demain soir?! ;-)
Pour ***elle*** : attends si tu es celle que je pense, tu peux comprendre ça (oh, je sais, je suis curieuse, mais c’est pas sale) : avant de tendre ta croupe à CUI, tu m’avais tendu la main, il y a fort longtemps.
Alors ?
(1) je n’ai pas perdu la mémoire
(2) mon comportement amoureux n’est pas d’une cohérence totale : je suis un homme
(3) ce que je pense aujourd’hui est en relation avec ce que j’ai vécu… il y a eu au cours de ma vie des périodes initiatiques et exploratoires… et c’est vrai je n’en suis plus là (mais ***elle*** non plus)
(4) je persiste : lorsque je me réveille à côté d’une femme réduite à un corps que j’ai baisé, c’est un peu comme après une mauvaise cuite… « plus jamais !!! »… mais cela ne m’est pas arrivé si souvent : que ce soit sous l’effet de l’alcool ou du manque ou de je ne sais quelle autre motivation, il y avait dans la plupart de mes étreintes un espoir ou une intention qui dépassait le moment de l’étreinte… il me semble que les maîtresses de CUI ne peuvent avoir cet espoir ou cette intention… (espoir parfois évanoui au petit matin).
une ancienne Etoilée : exactement pareil.
***elle*** : nan nan nan ! je connais les femmes de votre genre, vous allez me tenir de jolis discours avec de jolis mots mais derrière tout ce qui vous intéresse c’est ma queue ! Et je serais foutu de tomber dans le panneau ! alors nan ! nan ! je ne veux pas ! (et puis ce soir il y a France – Angleterre. En plus !)
CUI : c’est dans de tels moments que l’on reconnait les vrais potes car tu as noté j’en suis sûr que mes manoeuvres contribuent à amener sur ton blog les 879 à venir faire l’éloge de ta personne et de ta science amoureuse… (et toi de te retrouver au centre d’une scène semblable à une publicité pour Axe)
@The_pote : (Peut-être que quand je me réveille, je n’ai pas cette sensation de mauvaise cuite. Et, si un jour je l’ai, je saurai prendre les mesures nécessaire).
HEY, quel amalgame « les femmes de votre genre ». Je serai tentée de te dire que c’est peut-être justement là que tu te trompes un peu, ou que ta vision est faussée.
Je n’ai pas de genre. Présomptueux de dire unique? un peu mais c’est quand même cela. Chacune des *** a ses propres raisons, son histoire, son vécu, ses envies.
(Bon sinon, tu as raison, je n’en voudrais qu’à ta queue, si nous nous rencontrions! Et puis… nan, nan, tu as raison!
Message perso : Trinque à ma santé avec la personne avec qui tu regarderas le match ce soir et pince-lui la fesse droite de ma part! )
879, c’est sans compter celles qu’il laisse filer aux copains sans avoir le tps de les consommer.
il est trop fort
et comme je ne peux m’empecher de jouer, moi je veux etre la …888!!!!!!
ca marche?!!! promis? ;-)))
Bon, en ce qui concerne la note, ça m’a fait penser à une pub pour l’espace que je n’ai pas retrouvée alors je te la décris vite fait : C’est la nuit, en pleine nature, la voiture à l’arrêt est agitée dans tous les sens, on ne voit pas les occupants mais on imagine très bien ce qu’ils font. Soudain ça s’arrête. Une cigarette est allumée dans l’habitacle. On en voit juste le bout incandescent. Et puis une seconde, et une troisième, une quatrième, une cinquième…
Je ne sais plus qui a écrit qu’une profusion de maîtresses semble en appeler d’autres. C’est parfaitement normal : on ne prête qu’aux riches !
je te suggère un troisième s à nécessaire sinon CUI va t’en coller un.
je n’ai aucune vision alors elle ne peut pas être faussée.
et pour être honnête le genre (maman gentille – cul tendu – jambes bottées) ne me laisse pas de marbre : il s’avère simplement que j’ai placé ma queue dans d’autres mains pour les 45 années à venir… alors…
je vais voir France Angleterre avec un type qui me ressemble au fond, un quadragénaire, père de famille, tranquille et banlieusard… le genre de type qui aime sa femme en conscience et la baise tranquillement une ou deux fois par semaine…. alors pincer sa fesse droite de ta part, il mettrait au bas mot une semaine à s’en remettre…
et les commentaires de the_pote encore plus! j’adore!!!
j’ai bien compris qu’il n’y avait rien de sexuel à en faire pour les 45 années à venir..mais faudra qd meme que tu m’en dises un peu plus sur lui
te rends tu compte que ton extraordinaire « piège à gonzesses » dixit (tres justement) the_pote n’a aucune limite..même tes potes vont bientot pouvoir en récolter les fruits )))
Longue vie à toi alors! Et nous nous retrouverons à l’aube de tes 86 ans! (Quand je serai grand-maman gentille, le cul un peu flasque et que mes bottes seront remplacées par des chaussures ortho… Tu as raison, ça sera beaucoup plus intéressant comme ça!)
Amusez-vous bien ce soir! Et si tu ne lui pinces pas la fesse (je suis sûre que, tout au plus, il aurait repris ses esprits au bout de 2 jours…), buvez au moins une bière à la santé de la pauvre mère de famille, 880ème du nom!
Et puis, de toute façon, rien ne sera possible entre nous… Je suis trop… blonde! ou pas assez… brune… Quand je disais qu’il s’en fallait toujours de peu!!! ;-)
Sinon, quelle chaleur à la lecture de ce récit…
Charlotte > J’avais écrit une note sur divers souvenirs en voiture ; celui-ci n’y déparerait pas !
Lib > Promis, je touche pas à ton auxiliaire ! (Je ne sais pas si tu te souviens mais les rhums bois bandé gingembre, c’était juste le soir de cette aventure !)
presque toujours > Hein ? Quoi ? Mais si, reviens voyons !
Justine Miso. > Bah, si t’as déjà essayé la 106 et que tu aimes le changement, je suis bien obligé de te renvoyer vers mes potes…
the_pote > Quand Justine parlait d’un pote elle ne parlait pas de toi voyons. Je ne vais tout de même pas la mettre dans les mains d’un gars aux membres trop longs, la pauvrette.
Une des 879 > Euh ouais, pas de problème pour le dîner ! J’offre même l’apéro (chuis trop bon).
une ancienne Étoilée > C’est un peu paradoxal, je le reconnais, je mets en porte-à-faux les (rares – ouais je sais je casse un mythe) femmes qui, intéressées par mes mots, on envie d’approcher de plus près l’homme qui se cache derrière avec le risque de voir les dimensions de leur foufoune publiées le lendemain dans une note. Alors que faire ? Que j’arrête de faire du CUI ? (peut-être)
B*** > Je n’ai eu que des amantes 3 étoiles ;-)
lib > Je suis aussi surpris que toi par cette phrase de the pote que j’ai lue…
the_pote > Mais ce n’est pas comme ça que ça se passe (dans ma tête) le lendemain matin, pas du tout ! Et parfois, l’espoir peut se limiter simplement à la perspective de l’étreinte suivante, et c’est suffisant, ces petits bouts de bonheur, ces jouissances de l’instant.
alexa.. > Tu me fournis les 8 autres qui te précèderont ? (parce que de mon côté l’intendance ne suit pas)
Vagant > Je n’avais pas pensé que la note puisse être « amusante » (« distrayante », admettons !), mais que les commentaires le soient, ma foi, c’est toujours un plaisir !!
the pote > Merci d’avoir épargné mes fesses, donc.
plus que 11 et c’est [t]on tour > (donc t’es celle après après alexa… faut que je m’achète un nouvel agenda, je ne vais plus avoir assez de place)
J’ai pas exactement compris le sens de ton commentaire mais, oui, je prends, je partage, j’offre, et il y en a pour tout le monde ! Allegria !
***elle*** > Une gentille fessée, tu veux ?
la future 888 en mode blonde > Ah c’était toi. Tu es toujours un peu trop blonde (à l’occasion, penser à vérifier si tu n’est pas une fausse brune).
Essaye encore :
879 (elle) => 880-881-882-883-884-885-886-887 => 888 (toi)
Fée d’Hiver > Y a alexa qui attend impatiemment son tour. Tu veux quel ticket ?
(Merci aussi de revenir un peu au billet ;-)
columbine > J’ai jamais vu ce Buster Keaton encore, mais maintenant, J’IMAGINE !
Pour la petite histoire, j’ai un scénic au coffre encombré de vieux bazars qui me laisserait tout juste assez de place pour y sodomiser un chihuahua : ce serait à coup sûr la canicule…
Ou sinon, prends-toi un amant nabot.
Vagant > Je ne sais pas ce que tu as en ce moment avec les chihuhuas mais c’est le deuxième commentaire que je lis de toi où tu en parles, à mon avis, ça cache quelque chose…
columbine > Tant que c’est entre quadripèdes consentants… (non ?)
***elle*** > Je m’appliquerai à éviter toute scène de jalousie mal placée. J’irai personnellement les séparer en cas de pugilat ;-))
Le récit (je viens de le relire) n’est hélas pas aussi délicieux que le moment qu’il décrit !!!
Nous revenions de la capitale à chez lui, dans la Seine-et-Marne, je somnolais tranquillement, il conduisait tranquillement… Déjà, lorsque nous nous sommes promenés après notre petite crêperie, je le sentais super hot et il a insisté pour que je vienne dormir chez lui ce soir-là. Donc je dormais, et comme je fais pour m’endormir, je me caresse les seins… Mes timides gémissements lui parviennent aux oreilles, et tout en gardant son calme, il se met à me caresser les cuisses… Toujours somnolante, je une main entre les siennes… Bref, délicieux retour en Seine-et-Marne. Inutile de te dire qu’on s’est jetés dessus commes des sauvages une fois arrivés chez lui…
Punaise, un an déjà, cette histoire-ci. J’aurais dit … 6 mois !
Y a plus qu’à tous aller faire l’amour ds un monospace !!
;-)
A+
Mais on ne tiendra pas à 4 dans le coffre ;-)