Ces deux-là s’aiment, c’est une évidence ! Regardez-les, quand elle lui bande les yeux et qu’elle immobilise ses poignets sans même l’attacher, en les posant au sommet du lit, on les voit se consumer de désir. Sa bouche court le long de son corps tandis qu’il gémit (un murmure entre le rire et le soupir) de contentement. Elle le suce pour bien le faire bander et je me mêle à eux. Ma main caresse son ventre, ses cuisses et sa bite. Puis c’est le moment. Je prends un préservatif que je déroule sur le sexe de Jules, je m’agenouille au-dessus de lui et je maintiens son sexe dressé tandis que je m’empale sur lui. Je prends appui sur mes mains et mes jambes pour faire coulisser son sexe en moi.
Je bande à peine à ce moment. Il me semble que Louize est en transe devant ce qui se passe. Elle se jette férocement sur mon sexe, le prend flaccide en bouche et ses incantations humides ont vite fait de le rendre turgide à son tour. Ni une, ni deux, ma queue se trouve capuchonnée et sans perdre un instant, voici Louize qui vient se loger entre nous deux, ventre contre son homme, fesses contre mon ventre, jambes glissées là où elles peuvent, sexe qui s’imbrique sans faille sur le mien.
Chacun de nous deux ondule pour donner la cadence, tandis que notre prisonnier se délecte d’une scène aussi belle sous ses paupières closes que pour le regard de Camille qui nous regarde, désolée de ne plus avoir d’interstice où se glisser à son tour.