Brusquant parfois vos lèvres et leur teint incarnat
Après avoir couvert vos seins de chantilly,
Nanti explorateur, je plonge sur-le-champ
Déguster votre sexe aux senteurs de varech.
Aidé de votre main qui, hier, enfourna
(Narval grenat !) ma queue en votre con sailli,
Turpide, je m’en vais, tel un vil ruffian
Enculer prestement ma belle déesse grecque.
J aime et ça me fait rougir
Parce que la chantilly en bombe c’est dégueu !
Ou bien s’agit-il d’autre chose,
L’on imagine un gage, voire un défi…
Illusion d’optique qui intrigue et soudain révèle la clé du défi !
Il faudra un jour que je lise Sade, mais le croirez-vous ? j’ai toujours fait l’impasse à ce jour…
Je ne suis pas très doué pour la faire maison. C’est clair que dans certaines bonnes pâtisseries, on trouve des choses qui n’ont rien à voir avec les bombes industrielles – même si certaines s’en sortent un peu mieux que d’autres.
Bien sûr, je pouvais compter sur votre sagacité !
Rimer, versifier, compter les pieds, c’est une chose, mais stéganographier en est une autre.
Avez-vous d’ailleurs trouvé toutes les clés ?
Voyez : j’ai bien manigancé (elle est joueuse, oui, et moi plus encore….)
Oui, il s’agissait bien de ma part d’honorer un gage.
Rarement l’on a vu un si joli fessier
Offrir tant de plaisir et tant en refuser
Une fois colorée par une gentille fessée
Gageons que la donzelle ainsi amadouée
Encore de votre vit saura se rassasier
Si vous participez à mes défis en mots,
Pensez aux autres lecteurs qui viennent aussi
Observer ou jouer – Ne soyez pas chameau !
Il ne faut pas gâcher leur plaisir ici,
Les contrevenants : zou ! à Guantánamo.
Mon dieu j’ai fais un transfert.
‘nuit