Deux images de Paolo Eleuteri Serpieri, l’auteur de la fantasmatique Druuna.
Deux images en guise de souvenir de deux émois récents.
Deux images de Paolo Eleuteri Serpieri, l’auteur de la fantasmatique Druuna.
Deux images en guise de souvenir de deux émois récents.
Je commence à m’interroger sur l’avenir de ma belle histoire d’amour avec le festival Rock-en-Seine. L’an dernier, déjà, un premier doute m’avait traversé : l’affiche ne m’avait pas fait palpiter. Pour autant, j’avais passé un bon moment et j’avais écouté pas mal de concerts qui avaient su me séduire.
Cette année, ma première déception surgit très tôt, à l’époque où j’achète habituellement, fidèlement, mon forfait à prix réduit (« early bird » pour le dire à l’anglaise, ou « forfait de Noël » comme on l’appelait) les yeux fermés, c’est à dire sans avoir aucune idée des groupes qui seront programmés. Cette année, donc, changement de cap puisque l’organisation du festival :
Quelque peu courroucé par ces méthodes marketing que je jugeais bourrines, je ne prenais pas de place en me disant que je verrai plus tard ce qu’il en serait.
Quelques mois plus tard, je finissais par craquer, me disant que je n’avais pas encore vu The Cure sur scène et que ce serait l’occasion, et n’ayant pas trouvé d’autre festival adapté à mes envies et mes contraintes pour assouvir mes envies de son.
Sur cette photo, elle est entièrement nue, les pieds sur les rochers, à la limite de l’eau. Elle fait face à la mer, ses cheveux laissent deviner un vent léger qui les gonfle, vent tiède qui caresse son corps libre.
Elle fait face à la mer et tourne donc le dos à l’objectif ; on voit donc ses omoplates et ses creux poplités, et entre les deux évidemment sa paire de fesses, dans une posture qui pourrait évoquer une Myriam qui a enlevé le bas.
Google (qui est mon ami mais je commence à être un peu plus regardant sur mes fréquentations) me propose hier matin de me souvenir du 7 juin 2011.
Soit.
J’aime ce moment où, quittant le bureau avant un rendez-vous lubrique avec mon amante, mon collègue lui aussi sur le départ me lance un :
— Rentre bien !
et que j’imagine en effet que c’est ce qui m’attend.
📅, À la sortie du 🏢, j’ai donné rendez-vous à 👩🏽devant l'[⋯🌞⋯🌗⋯🌏⋯]. Dehors, l’air est ❄ et ☔, je me dis qu’un peu de 🔥 nous fera du bien. Un peu de baise au 🔥 pour être précis. À l’intérieur, petite ambiance ce mercredi soir avec quelques 💑 par-ci, par-là, peu entreprenants. 👩🏽 et moi profitons des 🛀à 🗭 et du 🧖pour monter doucement en 🌡. Après avoir bu un 🥃, nous profitons de la très fameuse 🍽 locale , histoire de prendre des 💪 pour la suite…
Je ne compte pas vous 📚 toute la 🌃 mais me focaliser sur une scène en particulier. Après avoir vainement tenté d’inspirer un 👫 à se mélanger à nous dans la « salle commune », nous glissons dans la pièce, plus réduite, aux 🝚 couverts de miroirs et pourvue d’une balançoire particulière dénommée « sling », tout en prenant soin de laisser grande 🔓 la 🚪. Depuis un moment déjà, j’ai retiré le petit🎄 du Ⓠ de 👩🏽, simplement pour le confort de la 🚄, car parfois son bord vient frotter désagréablement ma ⤜. Ce qui, d’un autre côté, me prive de la sensation de serré qu’il procure. J’ai maintenant grande envie d’enfiler 👩🏽 par son 🄠 qu’elle m’🎁avec une grande régularité. Je retrouve le petit 💰 de gel lubrifiant que j’ai pris la précaution d’embarquer avec moi (vêtu d’une serviette, c’est compliqué de transporter mes habituelles 🍶) et je m’applique à en répartir le contenu sur mon 🍑 et dans son 肛. Je m’enfonce avec une étonnante facilité, 👩🏽 est bien 👐 d’excitation et une longue et délicieuse ⟼o commence, sans qu’aucun 🙎 ne pousse la curiosité au delà du 👀 lointain. Même pas le temps d’inviter le 👫 qui nous plaisait à tous 🂲 à s’approcher !
Parfois, je préfère ne pas interrompre une ⟼o, mais là, elle est si 🌊 que je peux sortir de son 🅀 puis le reprendre un instant après sans gêne. La même envie nous prend : poursuivre sur le sling ! 👩🏽 s’installe, j’ajuste sa position pour mettre son 🌺à bonne hauteur. Et je la ⟼o aussi sec (mais avec 🍦 !). Longtemps nous 🎭, je donne différentes impulsion du bassin ou des 🙋 pour la faire ∿. Nous profitons tous les 𝟐 des réflexions infinies des miroirs, 👩🏽 a toute latitude pour se [👋🍑] et nous flirtons l’un et l’autre avec l’💦 sans l’atteindre. Ma ➸ finit par quitter le 𝒬 de 👩🏽, malgré tout rassasiée, aussi propre qu’elle n’était rentrée, à tel point que 👩🏽 peut la prendre en 👄– et elle n’est pas plus scatophile que moi ! – dans une étrange position : moi, épuisé et allongé sur le 🛏, elle, le Q et les jambes sur le sling, le torse penché vers moi. Je finis par ⛲💥💦 dans sa 👄💗. ✌️.
Comme je le disais jadis, ainsi s’écoulent les 🕒 heureuses à l'[⋯🌞⋯🌗⋯🌏⋯]…