Baisons, mon amante ! Baisons.
Baisons puisque nous trouvons cela bon. Baisons tant que nous en jouissons.
Prends mon sexe dans ta bouche, sens-le durcir sous ta langue, sens-le palpiter, c’est mon cœur qui bat. Sens le se raidir, se tendre, et cracher ma semence. Bois-là, puisque tu l’aimes.
Baisons !
Baisons puisque nous trouvons cela bon. Baisons tant que nous en jouissons.
Prends mon sexe dans ta bouche, sens-le durcir sous ta langue, sens-le palpiter, c’est mon cœur qui bat. Sens le se raidir, se tendre, et cracher ma semence. Bois-là, puisque tu l’aimes.
Baisons !
Ouvre tes cuisses pour que mes mains y fondent, cambre toi pour coller ton sexe sous mon nez. Tiens moi par la nuque pendant que je te lèche, attire-moi vers ton gouffre, et ne me relâche pas tant que ton désir n’a pas explosé.
Baisons !
Baisons !
Promène ta main le long de mon torse, ma peau est douce, comme l’est ta caresse. Mordille moi mes seins d’homme ; ils n’ont pas l’allure fière des tiens quand ils se dressent, mais ils apprécient tes baisers mouillés. Pose ta joue sur ma poitrine pendant que mes doigts démêlent tes cheveux. Puis murmure à mon oreille quelques mots obscènes. Vois mon sexe se relever pour repartir à la bataille.
Baisons !
Baisons !
C’est vachement beau quand tu fais du Ronsard, CUI
(on dirait que tu décris ma soirée d’hier… c’était donc toi ?!)
Ce pauv’ tit billet est né sous de mauvais astres, mon burp était âgé d’une petite semaine, personne ne venait le lire et encore moins le commenter (c’est moi qui ai « salé » le premier commentaire, comme je l’ai déjà avoué par ci par là)… Et pourtant, oui, assurément, elle n’est pas dégueulasse ma petite ode à l’Amante avec un grand A (je venais de me faire plaquer par celle avec un petit a mais un grand J***, alors je ne baisais pas beaucoup à ce moment-là).
Il se réveille et glisse une main dans les cheveux de sa compagne. Un petit smack – Bonjour – puis un baiser plus tendre et plus appuyé. Elle retire alors la hampe du boxer et la caresse doucement, tandis que son homme l’allonge et glisse sa tête entre ses seins… Ils se caressent de la sorte pendant une trentaine de minutes, c’est leur rituel du matin. La douche… Lieu d’intimité où leurs corps poursuivent le dialogue, de manière plus ludique. Chacun prend garde de savonner l’autre avec soin. L’occasion encore une fois de se découvrir l’un l’autre, après quelques mois de relation amoureuse.
Il est temps pour elle de partir, à contre-coeur. N’ayant pas prévu de retrouver son compagnon, elle a oublié de prendre des dessous de rechange. Elle gardera donc sa peau nue dans son pantalon de lin… C’est ainsi qu’elle gardera toute la journée, en plus de l’odeur de son homme imprimée sur sa peau, la douce caresse qui lui fera se remémorer ses tendres ébats. Le frottement de son sexe sur la couture lui rappelera les doigts habiles de son amant en elle, ceux-là même qui la firent jouir au réveil. Alors toute la journée, elle sourira, et son corps privé de culotte ne sera plus que l’objet d’une longue satisfaction.
Non pardon…trop facile…
s
j’ai égaré son chemin, il y a longtemps quand j’avais explosé mon pc
l’as tu toujours?
Je t’envoie ça en coulisse parce que je crois qu’elle tient à rester discrète (et malheureusement, pas beaucoup d’activité sur son burp).