
Comme une envie d’exhibitionnisme en ce dimanche apathique de passage à l’heure d’hiver. Une demi molle en attendant la demi finale ?
Comme une envie d’exhibitionnisme en ce dimanche apathique de passage à l’heure d’hiver. Une demi molle en attendant la demi finale ?
J’en étais resté à la triple épaisseur. Que s’est-il passé ?
J’ai appris ce jour une triste nouvelle, la disparition de celui qui fut d’abord un compagnon d’arme, à savoir un autre burpeur de l’éroburposphère des temps anciens (celle de l’époque dorée à laquelle Twitter a mis fin : le commun des mortels jugeant qu’il était bien suffisant de s’exprimer sur 140 caractères plutôt que de… Vite ! la suite »
Quelques douches et neuf heures de sommeil plus tard, après un déjeuner en famille (Mesdames Messieurs les restaurateurs de RES, je vous présente mes excuses)…. Day 3 La météo de ce dernier jour de festival s’annonce aussi chaude que la précédente. J’oublie toute velléité d’élégance (de toute façon je ne choperai jamais à RES, faut… Vite ! la suite »
Day 2 Il est 15 heures et il fait déjà bien chaud quand je pénètre sur le site de Rock-en-Seine après avoir franchi sans encombre le contrôle – j’ai rempli ma flasque de rhum arrangé avec le reste de poire-vanille d’hier (j’ai oublié de vous préciser que l’alcootest affichait 0,0 g hier soir, on peut… Vite ! la suite »
Oui, vite fait, même le titre de cette note d’une platitude infinie. C’est que j’ai Berlin à finir de vous raconter alors allons-y fissa ! Vous pouvez par ailleurs retrouver mon live tweet en faisant une recherche sur @cmmnmg #RES2015. Day 1 J’arrive sur le site tranquille, à l’heure qu’il faut, après être passé par la… Vite ! la suite »
Est-ce que j’ai une gueule d’Érosphère ? La question n’est pas si triviale ! Toujours est-il que, pour la troisième année consécutive, je me rendais au Off du festival Érosphère, un événement très bien résumé par la triple thématique de cette année : douceur, soufre (avec un seul « f », mais libre à vous d’en rajouter un deuxième) et… Vite ! la suite »
Je suis donc allé voir, en 3D s’il vous plaît, Love de Gaspar Noé avec, je dois l’avouer, un a priori négatif, qui s’est malheureusement transformé en a posteriori négatif. Sur le comment et le pourquoi, je vous invite de lire mon avis en commentaire chez une Gaspard beaucoup plus aimable, ma blogueuse aux seins… Vite ! la suite »
Paisiblement allongé sur la petite plage de Balos (un endroit magnifique, en Crète), j’achève Némésis de Philip Roth. Je tombe, dans l’épilogue, sur cet extrait : Nous nous approchons de 17 heures au moment où je lis ce passage, pas spécialement révélateur de la force douloureuse de ce livre, mais (puisque nous parlions récemment avec Brigit… Vite ! la suite »
J’ai lu ce texte chez la trop rare Lux Lisbon et comme souvent, quand je lis un texte érotique (mais à vrai dire le fonctionnement est le même pour la lecture de quasiment tout texte de fiction), je me projette sur un des personnages. Pour moi, un texte fonctionne d’autant mieux que le processus d’identification… Vite ! la suite »
La canicule n’a pas le même effet sur tout le monde ; à certains, cela coupe les élans libidineux, à d’autres, cela les booste. Et évidemment, si les deux partenaires ne sont pas synchrones, quelques frustrations sont à prévoir… Je me suis donc réveillé au milieu de la nuit excité et je me suis masturbé en… Vite ! la suite »
J’aime bien les filles de La Quête de la Sainte Culotte, j’en ai d’ailleurs déjà parlé ici, et en particulier leur vision d’un féminisme « pro-sexe » (vision partagée à des degrés divers – tant il est vrai qu’il y a presque autant de féminismes que de féministes – par nombre de mes amantes, ce qui montre… Vite ! la suite »
Il y a moins de 48 heures, nous étions éloignés de plusieurs milliers de kilomètres et aujourd’hui, à cet instant même, par un étrange coup du hasard, quatre mètres à peine nous séparent et pourtant nous ne pouvons pas nous toucher. Je transpire à grosses gouttes dans l’air moite de la ville chauffée à blanc,… Vite ! la suite »
C’est une coïncidence mais il est tout juste minuit et je me baigne dans la petite piscine de notre location. L’eau, chauffée par ces journées successives d’un ciel bleu sans pitié, continue de flirter avec les 30 degrés. Autour de moi, il y a les rires des enfants qui jouent, les autres adultes sont… Vite ! la suite »
Nous sommes dans une chambre obscure, un peu de lumière du jour passe à travers les volets pour venir strier d’or nos peaux en sueur. Il y a cette image dont je ne peux me départir : tes deux bras écartelés sont attachés chacun à un coin du lit ; allongée sur le ventre, ton visage mord… Vite ! la suite »
Longtemps que je ne vous avais pas fait part de mes émotions cinématographiques, alors voici, au lance-pierre, une mini-revue des derniers films vus dans les salles obscures. Triptyque : Comme un avion Bruno Podalylès joue le rôle principal de son film, où il incarne un quinqua passionné d’aéropostale – dans sa dimension héroïque et aventureuse –… Vite ! la suite »
On vante souvent les mérites du sexe comme étant une activité source de plaisir gratuite, mais il suffit de gratter un peu pour voir que la société de consommation n’est pas loin. Certes, on peut s’offrir à la main, sous la couette ou sous la douche (où dans les toilettes du bureau pour les plus… Vite ! la suite »
+ + = Sources des illustrations : Cadenas du pont des Arts By Frenchinspiration (Own work) [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons Street piano – Gare Cornavin Place Vendôme, le 15 octobre par Bertrand Guay (dans Libération)
Je reviendrai très bientôt sur les raisons pour lesquelles ce burp a été quelques temps mis en pause (ce n’est pas la première fois que ça arrive, qui peut dire si c’est la dernière ?). En attendant, je voulais quand même signaler que – pauses comprises – ça fait neuf ans que je vous raconte ma… Vite ! la suite »
Premier chant La légende dit que quand elle sent sa mort arriver, une histoire d’amour entreprend un long et douloureux voyage dans le cerveau pour aller rejoindre le cimetière des amantes disparues, où elle s’allonge une dernière fois et, dans un ultime soupir, expire. Deuxième chant Au cimetière de mes amours défuntes, mon cœur pèlerine… Vite ! la suite »