Bon, j’avais promis de pas faire ces machins pour remplir son burp quand on manque d’imagination mais je me suis laissé emporter alors voilà le travail.
Dans l’album de Bashung Fantaisie Militaire, il y a une jolie chanson qui s’appelle Mes Prisons mais je ne vais tout de même pas lui piquer un part un tous ses titres, hein ?
Nos prisons, donc, nos prisons sont une honte. Une honte de la République comme dit l’expression consacrée. Sauf que pour la République, c’est un sujet tabou. Éminemment politique et terriblement antidémagogique.
Le journal Libération qui est assez en pointe sur ce sujet (un des derniers sujets historiques traités par ce journal dont il puisse tirer fierté) publie régulièrement des articles sur l’état désastreux dans lesquels les prisonniers vivent ; conditions de vie abbérantes, conditions de fin de vie à filer la gerbe, surpeuplement, promiscuité, etc. Une des brillantes signatures, Dominique Simmonot, a hélas quitté le journal suite aux difficultés que traverse actuellement le journal. Lisez ses articles (je ne sais pas si elle a trouvé un nouveau journal d’asile) excellement documentés !
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Il y a quelques mois, j’avais reçu d’une copine un petit PowerPoint (Le travail c’est la Santé) qui se voulait une comparaison rigolote entre bureau et prison (le message étant évidemment que c’est plus cool en prison) mais qui m’avait écœuré de bêtise, de contre-vérités, de poujadisme, sans oublier les quelques fautes d’orthographe qui émaillent généralement ce genre de jus de cerveau. Faut dire que dans les jours qui précédaient j’avais lu un article désolant sur l’état des prisons et dans les jours qui ont suivi un autre article relatait la triste histoire d’un gars tué dans sa cellule par son co-détenu cinglé.
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Évidemment, politiquement parlant, ce n’est pas très payant de dire qu’il faut mettre plus de fric pour la lie de la société. Gnagnagna on dépense plus pour les criminels que pour les victimes (entendu ce matin à la radio mais c’était pas en France, qu’importe, les réactions ici seraient les mêmes). (Sans parler de l’idée saugrenue de penser à envoyer moins de personnes en prisons et de travailler plutôt sur les causes en prévention et sur les alternatives quand il est déjà démontré que dans pas mal de cas la prison ne fait qu’aggraver les problèmes). Et qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit : la société doit se protéger contre les individus dangereux et punir justement ceux qui transgressent la loi (la Justice est conçue pour ça).
Petit rayon de soleil : les résultats sortent aujourd’hui d’une étude lancée en mai dernier (il y a cet article du 25 mai 2006 qui traîne sur mon bureau depuis, c’était l’époque où je démarrais ce burp… il m’aura fallu cinq mois pour pondre enfin une note sur le sujet), l’ensemble des détenus ont reçu un questionnaire sur la condition pénitentiaire ; j’espère qu’il en sortira quelques choses de bons. Et je fais le vœu pieu que des candidats courageux pour la Présidentielle mettent ce sujet sur le tapis, mais je sais qu’ils ne le feront hélas pas.
Tu l’auras peut-être noté, ami lecteur, je suis un peu maniaque des majuscules accentuées. Je ne saurais plus dire quand cette addiction a commencé. C’était il n’y a pas si longtemps que ça. Bon, ça faisait longtemps que j’étais chatouilleux sur les questions orthographiques (en dépit de mes nombreuses lacunes, je ne prétends pas briller aux dictées de Mérimée ou de Pivot (o tempora…) et puis j’irai pô, si j’en ai enfin terminé avec les études ce n’est pas pour me remettre à plancher, les concours, ras-le-bol !). Je m’étais aussi intéressé aux questions typographiques lorsque j’étais rédac’chef de la feuille de chou dans mon école d’ingénieur, mais à cette lointaine époque, le Net n’existait pas (et toi, ami lecteur, te souviens-tu de ce que pouvait être ta vie sans Internet ? la téloche comme seul écran sur le monde ? moi j’ai oublié comment je survivais dans cette préhistoire).
Quand j’ai ouvert cette vaste fenêtre, forcément, le monde a changé et c’est sans difficulté que, cherchant des précisions sur les tirets cadratins ou les espaces (n.f.pl.) insécables, je tombai sur des sites documentés et étayés de spécialistes de typographie. Ô extase !
Quant aux majuscules accentuées, je me souviens d’être tombé sur une polémique concernant l’acronyme UQAM (ou UQÀM). Fallait-il mettre ou non son accent au A majuscule de l’Université du Québec ÀMontréal? Il faut savoir que les francophones du Canada sont accrochés à la langue française bien plus que les Français de France ne le sont, probablement parce que cette langue est fondamentalement constitutive de leur différence (quand pour nous elle n’est que vecteur de rassemblement, ce qui n’est pas si mal).
Si tu vas sur leur site, ami lecteur, tu constateras que le choix a été fait de mettre l’accent et j’en suis fort aise car je préconise moi aussi l’usage immodéré des majuscules accentuées.
Pourquoi les majuscules accentuées sont rares ? Tout simplement pour des raisons techniques. Quand les premières machines à écrire ont vu le jour, il n’y avait pas la possibilité de mettre assez de touches pour faire figurer ces caractères accentués.
On est légèrement dans la merde avec nos claviers d’ordinateur car le clavier AZERTY en usage en France n’offre qu’à peine mieux (ami lecteur utilisateur d’Apple™, je te prie de m’excuser de ma méconnaissance du clavier des Mac, il n’est pas impossible — mais pas certain non plus — qu’Apple offre une ergonomie plus élevée que PC dans le domaine de la saisie des majuscules accentuées : un commentaire pour nous éclairer sera le bienvenu).
Bon, pour les circonflexes ^ et les trémas ¨, c’est fastoche. La touche est prévue pour. On commence par appuyer sur la touche ^ (celle qui est à droite du P) puis la lettre majuscule souhaitée : Â Ê Î Ô Û ou Maj + ^ pour les trémas Ä Ë Ï Ö Ü
Au passage : je suis assez nul en tréma (l’accent qui sert à dire qu’une lettre doit se prononcer : ambiguë ne se prononce pas comme garigue), je ne sais jamais trop quand il faut le mettre ou pas : ambiguë ou ambigüe ? inouï ou inoui ? Alors → dico !
Ça se complique par la suite. Commençons par l’accent grave. Pour celui-là, Windows nous facilite (légèrement) la tâche. Ami lecteur, entraîne toi, tire la langue et appuie sur les touches Ctrl + Alt + 7 (le 7 qui est au dessus du Y et du U : [7è`]) puis sur la lettre majuscule à accentuer. Truc de ouf ! À È Ì Ò Ù
Quant à l’accent aigu, il ne nous reste plus que les yeux pour pleurer. On pourrait imaginer répéter le miracle de l’accent grave avec la touche [4′{] mais walou, ça marche pô. C’est plus pervers que ça. Ça marche dans Word™ uniquement.
Ctrl+4 puis E, sous Word, ça donne bien É. Mais pas ailleurs.
Comment faire, alors ???
Eh ben, autant être franc avec toi, ami lecteur, il faut se faire chier. La première méthode consiste à apprendre par cœur les codes à saisir pour chacun des caractères fréquents dont on a besoin.
0201 pour un É : Maintenir la touche ‘Alt’ appuyée, saisir 0201 sur le pavé numérique à droite (sinon ça ne marche pas), relâcher le Alt et hop, le É apparaît.
Et pour le reste, j’utilise la table des caractères :
Menu Démarrer / Programmes / Accessoires / Outils système / Table des caractères. (NB : Je me suis programmé un raccourci clavier pour le lancer directement sans avoir à me fader tout le menu.)
Dans cette petite application, on trouve une tripotée de caractères dont on ne sait que faire (c’est beau l’unicode) et pour une partie d’entre eux, on trouve l’indication que j’ai ici entourée en rouge : le « raccourci » (c’est un bien grand mot) clavier à saisir pour obtenir directement le caractère.
Sinon, on sélectionne les caractères souhaités, et on fait un classique copier-coller.
C’est comme ça que je fais de jolies frises.
jolie frise ↓
₪ ₪ ₪
Une alternative consiste à activer, dans Word™, l’option Majuscules accentuées. Ensuite on tape son texte et avec un peu de chance Word propose alors de corriger les mots où l’accent manque. Si vous tapez « Elèves » il proposera « Élèves ». Si vous tapez « A demain », il s’en satisfera et il ne vous restera plus qu’à vous taper à la main le «À » par l’une des méthodes proposée ci-dessus.
Pour activer l’option en question, Menu Outils choix Options… onglet Édition (notez l’accentuation dans le choix Word !) puis cochez Majuscules accentuées en français.
C’est l’histoire de Lapin et de Renard.
Lapin et Renard sont copains comme cochons. Dès qu’ils en ont l’occasion, ils sortent ensemble, dansent, se biturent tout en refaisant le monde. Un samedi soir, Lapin qui avait particulièrement poussé sur le Ti Punch est dans un état pas possible. Renard lui dit : « Écoute Lapin, tu es dans un état lamentable, tu ne ferais pas la différence entre un bigorneau et un hamster, tu seras incapable de retrouver ton terrier. Accroche-toi à ma queue, je te ramène chez toi ». Lapin est incapable d’argumenter, répond une sorte de oui, trouve suffisamment de force pour s’accrocher à la queue de Renard et arrive chez lui bon gré, mal gré.
La semaine suivante, nos deux compères repartent pour une tournée rue de la Soif. Et, par un juste retour des choses, cette fois-ci c’est Renard qui a dépassé la dose. Lapin lui dit : « Renard, mon copain, mon pote, mon ami, tu es complètement cuit. Jamais dans cet état tu ne retrouveras ta tanière. Monte dans ma voiture, je te ramène chez toi. » Moralité : quand on a une petite queue, il vaut mieux avoir une grosse bagnole.
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Une polo
C’est avec H*** que, pour la première fois, j’ai « eu du sexe » dans une voiture. H*** était — est — mon premier grand amour. Elle avait une Polo blanche. Une Polo v1. C’est une vieille histoire que celle-ci, une histoire du temps où les Nouvelles Polo, ça n’existait pas encore. Du temps où les noms de voiture étaient toujours au féminin. Désormais, on entend « un espace ». C’est affreux. N’importe quel typographe vous dira qu’il faut dire une espace. Mais je m’égare.
Nous étions donc sur la route des vacances, direction chez ses parents. Et peut avant d’arriver, on s’était promis une escale pornographique. Dont acte. Nous avons coïté comme on coïte dans une voiture : de façon assez inconfortable. Il faut bien avouer que le fantasme de faire l’amour dans une bagnole, aussi banal soit-il, est assez inconfortable dans la vie réelle. Ce qui ne doit pas rebuter pour autant. Il faut savoir se sacrifier dans la vie : un peu de confort sur l’autel des bons souvenirs.
L’histoire est assez ancienne. Pardonne-moi, ami lecteur, pour l’absence de détails dont je ne régale pas ton œil avide : je les ai moi-même un peu oubliés. Ai-je joui ? A-t-elle joui ? Avons-nous stoppé nos activités borderline (je me souviens d’une petite route de campagne, champs de blé aux alentours) rassasiés, pressés par le temps ou las de sentir le levier de vitesse dans les côtes (ne pas oublier l’accent).
Deux ans de vie commune. Pas de post-scriptum.
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Un sacré numéro
N*** passa rapidement dans ma vie à un moment où j’en avais grand besoin (traversée du désert sexuel, pour ceux qui n’auraient pas compris). Elle habitait O***. Moi je vivais entre Paris et C***. On s’était rencontré à l’occasion d’une soirée parisienne. Une soirée de minitellistes ! Elle n’était pas minitelliste, elle était venue invitée par une copine, C***, minitelliste, elle, que je connaissais, moi-même minitelliste en ces temps préhistorique où l’on n’imaginait même pas pouvoir draguer à l’aide d’un logiciel Microsoft (le Tout p’tit mou, ça vous tente, vous ?).
N*** était une belle brune. N*** était une belle beurette. Ça n’a pas duré très longtemps entre le moment où l’on s’est vus elle et moi et celui où l’on se roulait de grosses pelles sur le capot d’une voiture (et pourtant, la drague en direct, ça n’a jamais été mon fort). Malheureusement, ce soir-là, je devais rentrer chez papa-maman, elle je ne sais plus où, il fallut remettre nos ébats à plus tard.
L’occasion nous fut donnée par une excellente initiative de C*** de nous proposer un week-end en région bordelaise, à quatre. Elle, son copain du moment, N*** et moi. Nous avons emprunté la voiture de N***, une 205 rouge qui nous fit une mauvaise surprise au retour : cardan qui lâche, retour à vitesse réduite (pas de garage ouvert le week-end pour nous tirer d’affaire) avec de grands clac clac clac clac à chaque virage (et un rayon de braquage qui augmentait au fil du temps, nous obligeant à bloquer les carrefours pour tourner de 90°).
Mais c’est à l’aller que la 205 de N*** allait nous offrir un joli souvenir. C*** et son ami étaient à l’avant. N*** et moi discutions à l’arrière. Discussion qui se transforma en flirt. Flirt qui se mua en caresses tandis que la voiture filait sur l’autoroute. Je branlais N*** qui me le rendait bien. Nous avions trouvé un plaid pour masquer un minimum nos ébats. Les deux à l’avant eurent le tact de faire comme si de rien n’était, discutant entre eux sans nous interpeller.
Notre excitation grandissant, l’envie de la pénétrer se fit pressante. Je me tordais comme je pouvais, allongé le dos sur la banquette, le bassin projeté en avant. Elle présentant ses fesses et s’enfourchant sur ma queue. Était-ce l’excitation de la situation, les sensations particulièrement intenses ou la trop longue abstinence qui avait précédé, toujours est-il que je jouis trop rapidement au bout de quelques minutes, trop vite pour qu’elle puisse jouir également. Je m’en suis un peu voulu de cette jouissance prématurée, culpabilisant pour ce plaisir, ce souvenir intense qu’elle m’avait donné et que je n’avais pas pu lui rendre en retour. Le week-end, heureusement, ne faisait que commencer. Mais de la suite, je ne me souviens absolument pas. Seul ce moment brille encore (mais avec un vif éclat) dans mes souvenirs.
À toi, N*** que j’ai perdue de vue (tu t’es mariée je crois, tu es allée t’installer à Strasbourg), un grand merci pour ce moment offert il y a quinze ans (et les quelques autres).
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Une 106
Je n’ai passé qu’une nuit, enfin, une longue partie d’une nuit, avec L***. Dans ma voiture, cette fois. J’étais heureux de cette érotisation de ce véhicule familial. On peut y voir une volonté transgressive. Ou simplement l’érotisation de ce qui manque d’érotisation (de même que l’on se parfume alors que notre propre odeur corporelle n’est pas forcément désagréable). Nous nous sommes garés à l’ombre de la Préfecture de Police de Paris, c’était calme. Ça a démarré comme ça démarre toujours : par de longs baisers, des caresses de plus en plus appuyées, l’urgence qui se fait ressentir, des mains qui dénudent pièce par pièce le corps de l’autre, en se limitant généralement aux vêtements dont l’absence est indispensable à notre envie. Elle m’ôte ma chemise pour caresser mon torse, j’ôte son pantalon car elle n’a pas de jupe pour atteindre son sexe, etc. Et l’on jette occasionnellement un œil dehors pour vérifier que personne ne se rince le sien (d’œil) de manière inélégante. Comme il fait froid dehors, les vitres se couvrent peu à peu de notre buée, notre habitacle se transforme en hammam.
Je me suis agenouillé pour lécher L***, elle me branle quand ma position le permet. Enfin je la pénètre. Nous prenons notre temps, mais ni l’un ni l’autre ne jouira. Pas assez confortable, ma p’tite voiture. Je me souviens que nous avons ensuite longuement discuté, tendrement, elle, radieuse, simplement vêtue de son soutien gorge et de ses petites chaussettes, moi, ravi, en chaussettes. Nous parlions comme si nous nous connaissions depuis toujours.
Le lendemain, je remarquais sur le siège droit une tache de cyprine que je décidai de laisser telle quelle, anodine pour autrui, délicieux souvenir pour moi.
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Le temps que je passais avec J*** offrit à ma voiture de nombreuses occasions de nourrir ma mémoire érotique. Ça commence tout simplement par le trajet que je faisais avec elle (ma voiture, pas J***) pour la rejoindre (J***, pas ma voiture) chez elle. Porte d’Orléans → Porte de Clignancourt. Chaque fois que j’entrais sur le périphérique, que ce soit pour aller travailler ou aller chez elle, j’avais le réflexe pavlovien de penser à elle. Pensées souvent accompagnées d’actes ; je l’appelais au téléphone, ou je lui envoyais des SMS. Quand J*** m’a quitté, j’ai pensé que ce trajet me serait à chaque fois un pincement, le souvenir d’un bonheur enfoui.
Avec J***, nous avons souvent déambulé dans les rues de Paris. Nous nous embrassions aux feux rouges. Sa main fréquemment s’aventurait entre mes jambes, la mienne délaissait le levier de vitesse pour glisser entre ses cuisses (merci à ma main gauche pour son soutien occasionnel — aucun accrochage à déplorer). Ma voiture était tout simplement une antichambre de nos ébats.
Une fois, je me garais sur le petit parking qui se niche derrière la gare des Invalides. C’était l’hiver, c’était déjà la nuit. J’allais chercher J*** qui travaillait à deux pas. Enfermés dans le véhicule, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre. Sa bouche eut rapidement la bonne idée de venir goûter ma queue. Et je me laissais faire. Est-ce qu’une voiture est un meilleur endroit qu’un autre pour se faire sucer ? La réponse est évidemment non. Ni meilleur, ni moins bon. Tous les endroits sont bons.
Je m’occupais ensuite de lécher J*** parce que je ne suis pas chien. Parce que j’aime ça, aussi. Parce que j’adore ça (j’en fais pas trop, dans le genre auto-promo, amie lectrice, humm ?). Même si – en toute impartialité – il est objectivement plus commode dans l’habitacle de sucer une queue que de lécher une chatte.
Ensuite, nous avons essayé différentes positions, pour voir ce qui était le plus pratique, le plus agréable, le plus rigolo. Les vitres étaient couvertes de buée et le lendemain je me demandais si les traces de nos mains, qui s’étaient collés dessus, ne seraient pas visibles. Je passais aussi un certain temps à chercher où avait bien pu se nicher un de mes préservatifs (c’était sur le tableau de bord, et pas sous les sièges, canaille !).
J***, je me souviens aussi de nos traversées de Paris où tu me guidais, de nos stationnements du côté de Pigalle ou à côté de la guérite. Je me souviens aussi du trajet que nous n’avons pas fait pour aller en forêt trouver un terrain pour nos ébats.
Trop excellente, l’initiative du P.S. pour faire voter une loi transformant en délit la négation du génocide arménien.
Quand les lois disent ce que doit être l’histoire et ce qu’il faut penser, je frémis.
Connerie de loi ! Crétins du P.S. presque aussi cons que les crétins U.M.P. avec leur truc sur le rôle positif de la colonisation (NB : qu’il faut être con d’ailleurs pour nier. Connards de colonisés, ingrats !)
(Connards de Turcs qui ne reconnaissent pas le génocide, avec ou sans loi. Connards de peuple qui ne reconnaissent pas les pays voisins. Oh ? Ça existe Israël ? Ça existe Chypre ? etc.)
Connard de Comme une image qui a mal dormi, qui est de mauvaise humeur et qui est incapable d’argumenter plus loin que ses° propos au lance-pierre.
(°) J’aurais pu écrire ces mais j’ai bien voulu ses.
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