Articles classés dans la catégorie : cuisse

[1386] Le métier qui rentre

Une femme polymaste (ou presque)

C*** est un vrai camarade. Il a fait la connaissance d’une délicieuse jeune femme, devenue son apprentie soumise, et dans le cadre de sa formation en alternance, il me fait le plaisir de m’inviter à profiter de ses charmes. Nota : les dialogues reproduits ci-dessous sont évidemment des faux grossiers destinés à te faire ricaner, ami… Vite ! la suite »

[1383] Du creux de la main, je caresse mes rêves

Femme nue endormie, son sein.

Glissés sous la couette, toutes lumières éteintes, nous nous lovons l’un contre l’autre. Je glisse ma main sous ton pyjama léger et ma paume vient embrasser ton sein aimé. Ta poitrine est un érogène puissant et voici que cette apposition convoque sous la couette trois fantômes chéris. Le premier à se présenter est celui de… Vite ! la suite »

[1379] Lettre polie à quelques amis qui se trompent sur l’infidélité

I have finally come to terms with the fact that SECRETS are NECESSARY.

Pour ceux qui me suivent sur Twitter, vous avez pu être témoins il y a une poignée de jours d’une passe d’armes plutôt virulente au sujet de l’infidélité, opposant des infidèles ou des ex-infidèles (dont j’étais) et, dans le camp adverse (car il y avait vraiment bataille), des polyamoureux. La chose qui m’a particulièrement choqué… Vite ! la suite »

[1377] Qui m’est une province, et beaucoup d’avantage ?

Vieille carte postale de Chaintré

This is post 6 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Samedi 4 mars J’apprendrai plus tard que j’ai ronflé cette nuit. Toujours est-il qu’au moment du réveil le matin, le corps nu de V*** était encore à mes côtés, chaud et doux n’attendant que mes baisers. Le temps de V*** est hélas compté ce… Vite ! la suite »

[1375] Reverray-je le clos de ma pauvre maison

Dans son bain à bulle (autoportrait non contractuel)

This is post 5 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Vendredi 3 mars Aussi paradoxal que cela puisse paraître, je suis un garçon très fidèle en amour. Certes, le temps passe et certaines amours s’effacent, mais il est rare que l’attachement que j’ai pu avoir pour une amante disparaisse complètement. Outre celles pour lesquels… Vite ! la suite »

[1373] Quand reverray-je, hélas, fumer la cheminée ?

Une femme élégante se fait saluer par une tête de nœud (littéralement)

This is post 4 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Jeudi 2 mars. Ma valise bouclée, un dernier baiser à ma femme, je rejoins le parking pour m’installer dans ma Jazz (106 is dead) qui sera le fidèle destrier compagnon de mes aventures à venir. Comme je voyage seul (même si j’ai prévu de… Vite ! la suite »

[1371] Plus la rue Littré, que le mont Parnasse

Une brune apparemment sage dans une tenue vaporeuse, les tétons cachés d'une paire de sparadraps noirs

This is post 3 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Mercredi 1er mars Avant de parler de ce premier jour de vacances, je dois faire un petit retour en arrière. Quelques semaines plus tôt, je devais déjeuner avec une amie (je n’ose dire « une amante » pour qualifier cette femme avec qui j’ai couché deux… Vite ! la suite »

[1370] Ou comme cestui là qui conquit les toisons

Jason et les Argonautes, conquérant la Toison d'Or

This is post 2 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Je ne sais plus comment est née l’idée – assez rapidement sans doute – de faire en sorte que ce voyage soit l’occasion de rencontrer des femmes que je n’avais pas, ou presque pas, la possibilité de voir sur Paris. J’avais quelques idées en… Vite ! la suite »

[1368] Se plier en quatre

Se plier en quatre

Ces deux-là s’aiment, c’est une évidence ! Regardez-les, quand elle lui bande les yeux et qu’elle immobilise ses poignets sans même l’attacher, en les posant au sommet du lit, on les voit se consumer de désir. Sa bouche court le long de son corps tandis qu’il gémit (un murmure entre le rire et le soupir) de… Vite ! la suite »

[1359] La plaisanterie

Un vibromasseur caché dans une banane

J’avais pu dire, dans quelques commentaires sur le site NXPL, tout le bien que je pensais du projet « Hysterical literature » de Clayton Cubitt, même si je n’en ai vu que quelques exemplaires et que je n’ai pas cherché à les voir tous. Le principe en est simple : assise à une table recouverte d’une nappe noire… Vite ! la suite »