
Certes, je travaille beaucoup en ce moment, mais si tu veux distraire mes soirées, il me reste un peu de temps libre !
Certes, je travaille beaucoup en ce moment, mais si tu veux distraire mes soirées, il me reste un peu de temps libre !
Samedi, je suis allé faire un peu de shopping chez D***.
This is post 6 of 7 in the series “Haïkul” Petits jaillissements Testostérone affolée Larmes amères de joie saisonnière Haïkul (Printemps 1) Haïkul (Printemps 2) Haïkul (Printemps 3) Haïkul (Printemps 4) Haïkul (Printemps 5) Haïkul (Hiver 1) Haïkul (Printemps 6) De quelle couleur, Mon envie de tes fesses ? – Cyprine sur la moquette
C*** est un vrai camarade. Il a fait la connaissance d’une délicieuse jeune femme, devenue son apprentie soumise, et dans le cadre de sa formation en alternance, il me fait le plaisir de m’inviter à profiter de ses charmes. Nota : les dialogues reproduits ci-dessous sont évidemment des faux grossiers destinés à te faire ricaner, ami… Vite ! la suite »
Glissés sous la couette, toutes lumières éteintes, nous nous lovons l’un contre l’autre. Je glisse ma main sous ton pyjama léger et ma paume vient embrasser ton sein aimé. Ta poitrine est un érogène puissant et voici que cette apposition convoque sous la couette trois fantômes chéris. Le premier à se présenter est celui de… Vite ! la suite »
Pour ceux qui me suivent sur Twitter, vous avez pu être témoins il y a une poignée de jours d’une passe d’armes plutôt virulente au sujet de l’infidélité, opposant des infidèles ou des ex-infidèles (dont j’étais) et, dans le camp adverse (car il y avait vraiment bataille), des polyamoureux. La chose qui m’a particulièrement choqué… Vite ! la suite »
Je connais quelques femmes qui aiment que je les fasse pleurer en enfonçant mon gland au fond de leur gorge.
This is post 6 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un… Vite ! la suite »
This is post 5 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un… Vite ! la suite »
This is post 10 of 10 in the series “Humeur du jour ou de la nuit” Quelques poussées de testostérone… exutoire en forme de recueil d’images pour les grands (Humeur du jour ou de la nuit) #1 (Humeur du jour et de la nuit) #2 (Humeur du jour et de la nuit) #3 (Humeur du… Vite ! la suite »
This is post 4 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un… Vite ! la suite »
This is post 3 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un… Vite ! la suite »
This is post 2 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un… Vite ! la suite »
Ces deux-là s’aiment, c’est une évidence ! Regardez-les, quand elle lui bande les yeux et qu’elle immobilise ses poignets sans même l’attacher, en les posant au sommet du lit, on les voit se consumer de désir. Sa bouche court le long de son corps tandis qu’il gémit (un murmure entre le rire et le soupir) de… Vite ! la suite »
J’avais pu dire, dans quelques commentaires sur le site NXPL, tout le bien que je pensais du projet « Hysterical literature » de Clayton Cubitt, même si je n’en ai vu que quelques exemplaires et que je n’ai pas cherché à les voir tous. Le principe en est simple : assise à une table recouverte d’une nappe noire… Vite ! la suite »