Articles classés dans la catégorie : cuisse

[1405] Emojoui

Emojoui

📅, À la sortie du 🏢, j’ai donné rendez-vous à 👩🏽devant l'[⋯🌞⋯🌗⋯🌏⋯]. Dehors, l’air est ❄ et ☔, je me dis qu’un peu de 🔥 nous fera du bien. Un peu de baise au 🔥 pour être précis. À l’intérieur, petite ambiance ce mercredi soir avec quelques 💑 par-ci, par-là, peu entreprenants. 👩🏽 et moi… Vite ! la suite »

[1402] C’est le pied

Jeune femme nue à son balcon

Notez qu’il ne faut pas grand chose pour qu’une photo de nu, somme toute assez classique, de facture correcte mais sans beaucoup d’effort, vue sans doute mille fois, banale en somme, se transforme aux yeux d’un spectateur en une image d’un érotisme torride. Ici, le spectateur ému, c’est moi, et le détail insignifiant pour vos… Vite ! la suite »

[1401] Un peu plus près des étoiles

Constellation de la Petite Ourse

Ce serait un conte qui ressemblerait à Boucle d’Or et les trois ours, sauf qu’il n’y aurait aucune blonde dans cette histoire et que les trois ours seraient plutôt trois couples d’ours, réunis pour l’occasion. Après avoir mangé leur gruau, accompagné d’un vin rouge sentant, selon un des papas Ours, « le cul frais » et d’un… Vite ! la suite »

[1400] L’affaire est dans le sac

Harnais en cuir noir, modèle acheté chez Dollhouse, Paris

J’ai dû parler déjà à quelques reprises ici de mon « sac à malices ». Il s’agit d’un sac de sport en toile, aux dimensions parfaitement adaptées à l’espace sous selle de mon scooter, ce qui me permet d’emmener avec moi mon matériel de première, deuxième, troisième et quatrième nécessités lors d’un rendez-vous galant. Le fait est… Vite ! la suite »

[1399] Expectative

Estampe japonaise, un sexe dressé entouré d'un ruban rouge, porté à une bouche gourmande

Plusieurs jours que je me réveille, le sexe gonflé et animé d’un désir de volupté. Peu importe la fatigue. Le soir, aussi, quand je glisse mon corps nu sous la couette, je suis plein du manque d’une présence intéressée collée à mon flanc et qui viendrait goûter à mon envie. Il ne me reste que… Vite ! la suite »

[1398] La preuve par trois

Une femme nue allongée, de la fumée s'échappe de son sexe

Chère Judith, Au cours de votre interview auquel je me suis prêté au sujet des femmes soumises (sujet sur lequel je ne prétends pas avoir de connaissance très étendue, même si elle est étayée par plusieurs rencontres, pratiques et témoignages), il me semble qu’en vous focalisant sur les pratiques, vous avez laissé sur le côté… Vite ! la suite »

[1397] L’état de l’art

Autoportrait de l'auteur, allongé sur son lit, de face

Je ne sais pas pourquoi je multiplie ma présence sur les résossossios du genre Instagram alors que, finalement, le meilleur endroit pour m’exprimer sans avoir à redouter la censure imbécile des ciseaux informatisés américains, ça reste mon burp. Je vous propose donc ce petit recto-verso avant bronzage (les vacances, c’est dans 4 jours !!!), histoire de… Vite ! la suite »

[1395] Pourquoi je ne t’ai pas enculée

Pourquoi je ne t'ai pas enculée

Étant donné que j’en avais envie et que tu en avais envie, on peut se poser légitimement la question.Étant donné que tu avais écrit un texte où tu détaillais tes envies, le plaisir que tu prenais à te faire – lâchons les mots – brutalement défoncer le cul, et que cela avait fait croître en… Vite ! la suite »

[1394] Haïkul (Printemps 6)

Haïkul (Printemps 6)

This is post 7 of 7 in the series “Haïkul” Petits jaillissements Testostérone affolée Larmes amères de joie saisonnière Haïkul (Printemps 1) Haïkul (Printemps 2) Haïkul (Printemps 3) Haïkul (Printemps 4) Haïkul (Printemps 5) Haïkul (Hiver 1) Haïkul (Printemps 6) Sur la branche morte Un bourgeon gorgé de sève – Une rivière chante pour nous… Vite ! la suite »

[1389] Haïkul (Hiver 1)

On ne voit de cette femme alongée sur le ventre, sur la moquette d'une chambre d'hôtel, que ses eux jambes gainées de soie, écartées par deux liens de satin noir. Un escarpin noir complète la scène.

This is post 6 of 7 in the series “Haïkul” Petits jaillissements Testostérone affolée Larmes amères de joie saisonnière Haïkul (Printemps 1) Haïkul (Printemps 2) Haïkul (Printemps 3) Haïkul (Printemps 4) Haïkul (Printemps 5) Haïkul (Hiver 1) Haïkul (Printemps 6)   De quelle couleur, Mon envie de tes fesses ? – Cyprine sur la moquette

[1386] Le métier qui rentre

Une femme polymaste (ou presque)

C*** est un vrai camarade. Il a fait la connaissance d’une délicieuse jeune femme, devenue son apprentie soumise, et dans le cadre de sa formation en alternance, il me fait le plaisir de m’inviter à profiter de ses charmes. Nota : les dialogues reproduits ci-dessous sont évidemment des faux grossiers destinés à te faire ricaner, ami… Vite ! la suite »

[1383] Du creux de la main, je caresse mes rêves

Femme nue endormie, son sein.

Glissés sous la couette, toutes lumières éteintes, nous nous lovons l’un contre l’autre. Je glisse ma main sous ton pyjama léger et ma paume vient embrasser ton sein aimé. Ta poitrine est un érogène puissant et voici que cette apposition convoque sous la couette trois fantômes chéris. Le premier à se présenter est celui de… Vite ! la suite »

[1379] Lettre polie à quelques amis qui se trompent sur l’infidélité

I have finally come to terms with the fact that SECRETS are NECESSARY.

Pour ceux qui me suivent sur Twitter, vous avez pu être témoins il y a une poignée de jours d’une passe d’armes plutôt virulente au sujet de l’infidélité, opposant des infidèles ou des ex-infidèles (dont j’étais) et, dans le camp adverse (car il y avait vraiment bataille), des polyamoureux. La chose qui m’a particulièrement choqué… Vite ! la suite »

[1377] Qui m’est une province, et beaucoup d’avantage ?

Vieille carte postale de Chaintré

This is post 6 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau… Vite ! la suite »

[1375] Reverray-je le clos de ma pauvre maison

Dans son bain à bulle (autoportrait non contractuel)

This is post 5 of 6 in the series “Chroniques marsiennes” Un peu moins long et moins épique que l’Iliade et l’Odyssée, le récit de ce mois particulier, parenthèse bienvenue dans ma vie d’homme enchaîné à son travail et son foyer (zyva, verse ta larme de compassion !) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau… Vite ! la suite »