Articles étiquetés : O***

[911] En rut (4)

En rut (4)

Pas la peine pour moi de passer par un troisième niveau de rêve imbriqué comme dans Inception. On me glisse une suggestion à l’oreille, ou alors par SMS, je m’offusque devant tant d’audace « ah non ! ça jamais, voyons ! ça n’est pas raisonnable », et même pas besoin d’arroser, la fleur de la déraison pousse très bien… Vite ! la suite »

[910] En rut (3)

En rut (3)

Parmi les trois choix que tu m’offres, me présentant ta jupe relevée, il y a celui de « t’enculer en t’embrassant ». Ah… T’enculer… Maintenant que l’on sait, grâce au savant calcul d’Usclade, que je n’ai plus que 0,1% de mon cerveau disponible pour penser à autre chose que me faire sucer, je suis conduit à avouer… Vite ! la suite »

[908] En rut (1)

En rut (1)

Voilà plus de huit jours que nos seuls échanges passent par la voie électronique. Je ne vois plus ton œil briller de malice ni ta bouche me sourire en coin. Huit jours que je ne t’ai pas serrée dans mes bras en soupirant de ce mélange d’épanouissement et d’inquiétude qui est le mien depuis que… Vite ! la suite »

[892] Haïkul (Printemps 2)

Haïkul (Printemps 2)

This is post 2 of 7 in the series “Haïkul” Son corsage comme un champ de coquelicots Désir qui pulse — Un œillet. Illustration piquée chez Béa (faut-il préciser que c’est le contraste entre le mur brut et rêche et la fragilité des coquelicots qui a retenu toute mon attention ?)

[885] Appétit(s)

Appétit(s)

Quand j’ai pris, il y a onze ans, la décision d’être franchement adultère, un de mes moteurs était que je ne voulais pas m’aigrir d’envies sans cesse ravalées. Le problème de ce traitement, c’est la posologie. Au démarrage, ça n’était pas vraiment homéopathique, mais une escapade tous les quinze jours suffisait à faire mon bonheur…. Vite ! la suite »

[882] Printemps

Printemps

C’est le printemps. Ou quasi. Ce matin, en circulant à scooter, j’ai croisé un cerisier ou un prunier du Japon en fleur ; je ne suis pas très doué en botanique, mais ça ne m’empêche pas d’apprécier la beauté de ces arbres, quel que soit leur nom, aujourd’hui colorant la ville grise — et plus tard… Vite ! la suite »

[878] Œil rouge, œil noir

À votre santé, Monsieur CUI !

Noire, la chambre de l’hôtel portant d’ailleurs ce nom. Rouge, le jeté de lit, comme un présage. Noir, mon costume, que je mets cette fois, n’ayant plus peur de « t’intimider » sans jean. Noire ma chemise, parce que je voulais pouvoir me camoufler sur un mur de la chambre. Noir mon œil brillant de désir quand… Vite ! la suite »