Articles écrits par : Comme une image

[543] Allumeuse !

Allumeuse !

Elle est allongée sur son canapé. Je me suis glissé entre ses cuisses, ma langue et mes lèvres toutes entières à leur proie attachées. Mes mains caressent, s’accrochent à son corps, deviennent prolongation de ma bouche pour étendre son baiser vorace. Ses cuisses se referment ; ma tête, prisonnière de cet étau vibrant, cherche son souffle…. Vite ! la suite »

[541] Les randonneurs (VVF 2)

Les randonneurs (VVF 2)

Suite aux conseils avisés de Mlle Dusk, notre héros passe, en famille, une semaine au Vacanciel de Saint-Georges-de-Didonnes. Instantanés. Dans les VVF, F oblige, il n’y a que des familles (donc : des adultes entourés de gnards). Une autre de leur spécialité, c’est d’être localisés dans nos belles campagnes de France. Choisissez votre VVF et retrouvez-vous… Vite ! la suite »

[540] (Appelons ça un mot d’excuse)

(Appelons ça un mot d'excuse)

(parce que je suis un gentleman ?! faut l’dire vite…) Finalement, ce ne sont pas les oreilles d’Y qui ont été pourries d’acouphènes hier soir, mais celles de mon grand ami. J’ai écouté, j’ai compris. J’avais surinterprété certains propos qu’Y m’avaient tenus, comme quoi une explication de vive voix était nécessaire. Donc Y, je te prie… Vite ! la suite »

[538] C’est comme des cochons…

C'est comme des cochons...

Reçu aujourd’hui ce spam tellement beau que je vous le livre verbatim : Objet : habille toi en bourgeois sans claquer ton pognon Bonjour, Il faut que tu vois ca. Des centaines de chaussures et sacs a main des plus grandes marques a des prix si bas que tu ne peux pas resister. Inutile d’aller dans… Vite ! la suite »

[537] Masculin, Féminin (VVF 1)

Masculin, Féminin (VVF 1)

Suite aux conseils avisés de Mlle Dusk, notre héros passe, en famille, une semaine au Vacanciel de Saint-Georges-de-Didonnes. Instantanés. Tout le monde est arrivé samedi soir (sauf les familles – parce qu’au Vacanciel, il n’y a que des familles – qui sont déjà là depuis une semaine). Le dimanche matin a été consacré à la… Vite ! la suite »

[536] Faire peau neuve (une approche du mouvement perpétuel)

Faire peau neuve (une approche du mouvement perpétuel)

Il y a quelque chose de jouissif à se frotter pour s’éplucher la peau pelée suite à un coup de soleil. Un petit bout qui part, on le fait rouler sous la pulpe du doigt, il se casse. On recommence un peu plus loin (quand il n’y en a plus, il y en a encore)…. Vite ! la suite »

[533] Allô de rose

Allô de rose

Je suis passé une première fois devant l’affiche en me demandant : « est-ce une coquille ? » et j’ai poursuivi ma route. Je suis passé une deuxième fois (le lendemain) en me reposant la question, en essayant de repérer un élément, dans l’affiche, qui justifierait ce féminin pluriel si inhabituel pour une campagne qui, par ailleurs, semblait totalement… Vite ! la suite »

[531] Les habitués

Les habitués

Je dîne seul ce soir, car tu vas rentrer tard du travail. C’est l’été, j’ai décidé de profiter d’une terrasse malgré les nuages un peu menaçants – il faut savoir forcer le destin – et c’est donc sans compagnie que je bois un verre de Châteauneuf-du-Pape sans relief en avalant un médiocre steack tartare dont… Vite ! la suite »

[528] Le conte est bon

Le conte est bon

Desplechin est grand, et Amalric est son prophète ! Desplechin continue de tricoter avec un talent incroyable des histoires peuplées de personnages extraordinaires filmés dans leur plus grande ordinarité. C’est vivant, c’est tragique, c’est drôle. Après Rois et Reine, encore un grand moment de cinéma, rare, intense.

[522] Téléphone arabe

Andy Reynolds

Sur une idée de Vendetta, ce petit jeu tout simple. Oui, il s’agit d’une chaîne de burpeur, mais non pyramidale. Il s’agit de reprendre le texte ci-dessous sur votre burp et de le déformer légèrement, comme si vous l’aviez mal entendu. Vous n’êtes pas sans savoir que la législation française impose le principe de l’opt-in… Vite ! la suite »

[521] Not alone in the dark

ewelina (rajchert)

On n’a jusqu’alors entendu que des pas feutrés sur la moquette, le tintement d’une ceinture qu’on déboucle, le froissement d’un pantalon que l’on ôte. Ce silence, orchestré, crée, plus qu’un mystère, une tension. Il va la chercher. Elle l’attendait dans la salle de bain, pendant que lui s’installait dans la chambre de l’hôtel.