Articles classés dans la catégorie : cuisse

[930] En rut (6)

Sur un lit, une femme relève sa croupe est se fait prendre en levrette

Je ne sais pas ce qui se passe, ça me reprend. Ça a commencé cette nuit, pendant mes rêves. Il y avait un concert de Bernard Lavilliers dans la ville médiévale (Lyon ?!) où je me trouvais, que j’entendais de loin et j’avais envie de sauter sur tout ce qui bougeait, dont une journaliste qui voulait… Vite ! la suite »

[921] Défense et illustration du soixante neuf

Défense et illustration du soixante neuf

La puissance évocatrice de ce nombre majestueux à deux chiffres renversés, 69, évoquant à lui seul toute la chose érotique, à peine affaiblie en région Rhodanienne, n’est plus à démontrer. Du clin d’œil oulipien de Queneau (« Luxure : 1 + 1 = 69 ») à la mélodie de Gainsbourg célébrant « l’année érotique », sans compter les innombrables ouvrages… Vite ! la suite »

[920] Comme un serpent qui danse

Comme un serpent qui danse

Ce bruit des bracelets Que tu cales à tes pas Qui écrivaient chaque fois Mon cœur en pointillé L. – Petite (sur l’album Initiale) J’ai découvert que tu portais un bracelet de cheville au moment où, dans la salle obscure, tu as posé sur mes cuisses tes pieds après t’être déchaussée. Je ne le voyais… Vite ! la suite »

[913] Spermophile indigne

Que savais-je du sperme ? Rien ! J’avais un peu fait le fanfaron dans une ancienne note de 2006 (cliquez sur l’image pour la retrouver), qui posait une question sans donner la réponse, et puis je suis tombé, à la faveur d’une recherche, sur un article essentiel pour Tout savoir sur le sperme, ou plutôt, puisqu’il faut… Vite ! la suite »

[911] En rut (4)

En rut (4)

Pas la peine pour moi de passer par un troisième niveau de rêve imbriqué comme dans Inception. On me glisse une suggestion à l’oreille, ou alors par SMS, je m’offusque devant tant d’audace « ah non ! ça jamais, voyons ! ça n’est pas raisonnable », et même pas besoin d’arroser, la fleur de la déraison pousse très bien… Vite ! la suite »

[910] En rut (3)

En rut (3)

Parmi les trois choix que tu m’offres, me présentant ta jupe relevée, il y a celui de « t’enculer en t’embrassant ». Ah… T’enculer… Maintenant que l’on sait, grâce au savant calcul d’Usclade, que je n’ai plus que 0,1% de mon cerveau disponible pour penser à autre chose que me faire sucer, je suis conduit à avouer… Vite ! la suite »

[908] En rut (1)

En rut (1)

Voilà plus de huit jours que nos seuls échanges passent par la voie électronique. Je ne vois plus ton œil briller de malice ni ta bouche me sourire en coin. Huit jours que je ne t’ai pas serrée dans mes bras en soupirant de ce mélange d’épanouissement et d’inquiétude qui est le mien depuis que… Vite ! la suite »

[893] Apte à la consommation

Apte à la consommation

  Hum… Mon dernier test avait quand même 4 ans (pas très sérieux, hein). Je n’étais pas vraiment inquiet parce que je reste un garçon raisonnable et prudent, mais bon, ça fait toujours plaisir de remettre les points sur les i. Et puis ça faisait longtemps que je n’avais pas trouvé un prétexte pour montrer… Vite ! la suite »

[892] Haïkul (Printemps 2)

Haïkul (Printemps 2)

This is post 2 of 7 in the series “Haïkul” Son corsage comme un champ de coquelicots Désir qui pulse — Un œillet. Illustration piquée chez Béa (faut-il préciser que c’est le contraste entre le mur brut et rêche et la fragilité des coquelicots qui a retenu toute mon attention ?)

[885] Appétit(s)

Appétit(s)

Quand j’ai pris, il y a onze ans, la décision d’être franchement adultère, un de mes moteurs était que je ne voulais pas m’aigrir d’envies sans cesse ravalées. Le problème de ce traitement, c’est la posologie. Au démarrage, ça n’était pas vraiment homéopathique, mais une escapade tous les quinze jours suffisait à faire mon bonheur…. Vite ! la suite »

[882] Printemps

Printemps

C’est le printemps. Ou quasi. Ce matin, en circulant à scooter, j’ai croisé un cerisier ou un prunier du Japon en fleur ; je ne suis pas très doué en botanique, mais ça ne m’empêche pas d’apprécier la beauté de ces arbres, quel que soit leur nom, aujourd’hui colorant la ville grise — et plus tard… Vite ! la suite »

[879] À poil, la toile !

À poil, la toile !

Cela fait un petit moment que je voulais glisser un mot sur eux et je profite de la mise en ligne du numéro de mars pour le faire. Eux, c’est un couple (enfin je suppose) libertin, F&V, qui fait un travail éditorial nettement au dessus de la moyenne de ce qu’on trouve sur le net… Vite ! la suite »

[878] Œil rouge, œil noir

À votre santé, Monsieur CUI !

Noire, la chambre de l’hôtel portant d’ailleurs ce nom. Rouge, le jeté de lit, comme un présage. Noir, mon costume, que je mets cette fois, n’ayant plus peur de « t’intimider » sans jean. Noire ma chemise, parce que je voulais pouvoir me camoufler sur un mur de la chambre. Noir mon œil brillant de désir quand… Vite ! la suite »

[874] Trop tard

Trop tard

Quelque chose comme mardi. Je suis dans la file du téléski Grands Bois, en bas de la piste rouge où de nombreuses écoles et club de ski s’entraînent au slalom. La plupart  sont des minots pré-pubères, nés l’étoile en argent dans la bouche, habillés en tenue aérodynamique quand je porte une tenue molletonnée qui laisse… Vite ! la suite »

[872] Louis & the (remontées) mechanics (3)

Louis & the (remontées) mechanics (3)

Présomptueux que j’étais ! Je pensais mettre à profit cette semaine au ski pour vous écrire des tartines, finir les récits laissés en suspens, bref, préparer de quoi vous inonder de notes. J’oubliais qu’une semaine de vacances au ski, c’est réveil tous les matins vers 7h30 (personnellement, ça fait 10 minutes plus tôt que mon horaire… Vite ! la suite »

[858] Louis and the mechanics (2)

Louis and the mechanics (2)

Je continue ma lecture de La mécanique des femmes de Louis Calaferte (oui, je lis doucement !) et vous livre au fil de ma lecture quelques extraits qui m’ont touché. Les intertitres sont de mon fait. Les illustrations de mon choix, bien évidemment. Trois couleurs, nu Manteau et toque bleus qui font d’elle une poupée russe…. Vite ! la suite »